Attack on Zombie

Chapitre 22-Livaï Ackerman/2

Deuxième partie.

"Si je savais ce qui m'attendais..
...Ce qui vous attendais...
Jamais je n'aurai accepté de t'aider.
Jamais je n'aurai accepté cette mission.
Et vous vous serez jamais impliqué dedans..

Toute cette histoire a prit une ampleur horrifique.
Tous ces sacrifices fait, et à venir..
À cause de vos saletés de projets qui ne tiennent pas la route..

Sieg, tu es un homme mort.
Je me chargerai personnellement de t'anéantir toi et tes putains de recherches.

Si il faut que je crève, je t'emmenerai avec moi en enfer.

...

Tu peux en être sûr et certain."

[1 an avant l'apocalypse.]

Vendredi : 17h15.

- Donc, Zeke c'est le surnom de Sieg Yeager ?

Cela fait déjà 5 mois qu'ils travaillent sur la S.S.B. Il aura fallut un mois à Livaï pour qu'il accepte d'offrir son aide à Tp.

- Je n'appelerais pas ça un surnom. Enfin, cela dépend de qui ça vient. Je vois ça plus comme un pseudo. Pour garder son anonyme. Il est pas con, cela prouve bien qu'il sait que ce qu'il fait est loin d'être sain. la femme contourne la table ronde où repose de multiples documents, et va accrocher à l'aide d'une punaise la photo du sujet : homme blond à lunettes.
Puis, elle recule et s'assoit sur la table, pour admirer le grand tableau en face, sur quoi toutes les preuves trouvées depuis ces mois ont été placés. Documents, cartes, photos, journaux, tous reliés par des élastiques colorés.

- Le fruit de nos efforts paiera bien. murmure-t-elle avec un léger rictus.

- Mmh. J'espère pour toi que tu as conscience de la tournure que tout ça pourrait prendre. prévient le jeune trentenaire, derrière son ordinateur. Il lève les pupilles au dessus de ses lunettes pour voir sa réaction.

Cette dernière soupire et défait son chignon décoiffé pour en refaire un plus potable, toujours avec son crayon.

- Tu mets en doute mes talents d'agents secrets ? C'est plutôt toi qui devrais faire attention.

- Tch. Je commence à croire que l'on fait tout ça pour rien.

- Pardon ? On parle de lz sécurité de l'humanité.

- Certes. Mais on parle aussi du gouvernement. Toi même tu me l'as insinué cette soirée là. il relève sa paire de lunettes dans ses lisses cheveux ébènes. Donc en soit, deux contre un pays c'est peine perdu.

Tp tique à cette évidence mais se reprend en se retournant vers le noiraud.

- Je continuerai encore et encore à m'interposer. Ils seront bien obligés d'avouer la vérité un jour ou l'autre. À moins qu'ils soient assez cons pour laisser éclater une apocalypse biologique. Tu crois vraiment que nos supérieurs soient de cette avis ? Que le F.B.I soit d'accord avec tout ça ?

- Nous sommes les toutous du président Tp. L'aurais-tu oublié ? S'ils ne veulent rien révéler, personne ne révélera rien.