NDA : Nous y voilà. C'est le dernier chapitre d'AoZ.. Alors je ne peux que vous dire d'apprécier ce moment, et de le lire jusqu'à la fin ! Car oui, à la fin j'ai une chose à vous informer.. ;)
J'avoue que ça fait quelque chose de se dire qu'après cette longue aventure, elle se termine ici ! Enfin bon.. Je ne vous dis pas plus pour le moment.
Installez-vous confortablement pour lire et profiter de la suite !
Bonne lecture.. <3Livaï Ackerman.
Bombardements en cours.
Dimanche : 10h05.
- Qu'est ce que ça veut dire ?? Vous vous jouez de nous depuis tout ce temps ?! s'exclame furieusement Porco.
- Que veux-tu dire par "ces 15 minutes n'ont pas été réglées par hasard" ? questionne Hange qui est aussi perturbée par cette révélation soudaine, mais qui essaie d'éviter tout conflit futile entre eux.
Livaï à ses côtés tchite, bras croisés il toise d'un mauvais œil le soldat prénommé Fuji qui ne lui inspire pas confiance.
"Il se permet de s'incruster comme ça, sans notre accord, sortant de nul part.. Je pari que c'est encore un coup tordu de Yelena !"
Toute l'attention du fourgon est sur le masqué à l'air espiègle.
- Eh bien.. Ça veut dire ce que ça veut dire. Je n'ai pas employé un vocabulaire trop complexe pourtant..
- Toi et ton putain de ton condescendant n'essaie même pas de nous prendre de haut !
- Porco ! Pieck le réprimande, mais c'est sans compter sur le blond qui fusille du regard le soldat à l'arrière depuis le rétroviseur central.
- HÉ !! Parle mieux à Fuji ! réplique Nanaba sur ses épines face à l'hostilité envers son supérieur.
- Je M'EN FOUT de ton Fuji à la con et puis LA FERME !
- Tu sais à qui tu causes au moins ?!
- À UN GROS MEURTRIER ! COMME TOI D'AILLEURS !!
- ESPÈCE DE-
- Nanaba. C'est bon.
Automatiquement, à l'entente de la voix ferme de l'homme à la capuche baissée, la soldate se tait et se redresse sur la banquette en détournant son visage de Porco.
Alors que le dialogue entre les deux blonds commençait à s'enflammer, avant que le Gaillard ne rétorque encore plus de haine, Fuji met un terme immédiat à l'enguelade en reprenant la parole sagement :
- Mon ton condescendant ? Il y a mépris quelque part, c'était ironique de ma part. sa franchise déstabilisante réussit instantanément à apaiser la colère de Porco, bouche bée. Laisse moi déjà le temps de m'expliquer, ensuite libre à toi de choisir tes émotions à expulser.
VOUS LISEZ
Attack on Zombie
FanfictionCela se passe à notre époque. Il n'a fallut que d'une nuit avant que l'enfer ne commence vraiment. Une simple nuit pluvieuse où les gens continuaient à vivre leur existence comme ils savaient si bien le faire, malgré les soucis qui les rongaient...