Chapitre 40 : Fruit défendu

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Salut tout le monde !
J'espère que vous ça va, la famille, la santé tout ça tout ça.

Bon, je vous dérange 3 secondes pour vous prévenir, surtout ceux qui font le Ramadan ou le Carême (d'ailleurs bon Ramadan et bon Carême),  que ce chapitre comporte des scènes à caractère sexuel... 🔞

Bonne lecture.
🔞
~





Point de vue Adam





Las Vegas, 00H39, immeuble de Lilith





Je m'éloigne de Lilith pour reprendre mon souffle en profitant pour lui demander :

- Tes voisins vont crier si on fait trop de bruit ?

Elle rigole en se rapprochant de moi d'un air sensuel.

Sa robe lui va tellement bien...Mais j'ai tellement hâte de lui arracher...

Elle se colle contre moi et passe ses bras autour de mon cou, je saisis instinctivement ses cuisses pour qu'elles s'enroulent autour de ma taille.

Dans un mouvement brusque, je la plaque contre la paroi de l'ascenseur, elle pousse une exclamation de surprise, très vite étouffée par ma bouche qui dévore sauvagement la sienne.

Nos actes n'ont plus rien de chaste et délicat, ils sont saccadés et avides l'un de l'autre.

Lilith répond entre deux baisers :

- L'étage m'appartient, la seule chose qui pourrait les déranger serait de marteler le sol. Je ne pense pas qu'on en arrivera à ce point.

- Si j'étais toi, je ne mettrais pas mes deux mains à couper sur ce point là. La nuit est longue tu sais.

Je la sens sourire contre mes lèvres en cherchant à tâtons les boutons de l'ascenseur.

En même temps que les portes se referment derrière nous, nos baisers enflammés reprennent. J'empoigne ses fesses dans mes mains pour réajuster mon emprise sur son corps sans pour autant arrêter de l'embrasser.

Quand le bip sonore retentit, je commence à reculer tout en posant Lilith en plein milieu de l'entrée de son appartement.

Au moment où l'ascenseur repart sans nous, je m'approche de son coup en y déposant plein de fois mes lèvres brûlante de désir, et je murmure au creux de son oreille :

- Olivia t'a aidé à mettre ta robe, laisse moi te l'arracher.

Elle frissonne en entendant mes paroles et putain qu'est-ce que j'aime ça, cette femme est littéralement suspendu à mes lèvres.

Je mets immédiatement mes paroles en pratique en déchirant sa robe, la fermeture si fragile craque si facilement sous ma poigne que s'en est grisant.

Je m'éloigne un peu de Lilith pour la regarder de haut en bas.

Elle est pratiquement nue, elle porte juste un ensemble de sous vêtement noir, à ses pieds sont étalés les lambeaux de sa robe.

Ses yeux noirs me captivent tellement...Ils renvoient tellement de messages indécents.

Si vous saviez tout ce que j'aimerais lui faire, là, maintenant, à même le sol.
C'est fou à quel point j'ai envie d'elle.
Je veux gouter chaque parcelle de peau de cette femme.
Je veux qu'elle gémisse mon nom tellement fort que ses voisins au rez-de-chaussée viendront se plaindre.

Devil is not a man Où les histoires vivent. Découvrez maintenant