Chapitre 17

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! Scènes de sexe sur tout le chapitre alors passez le si vous n'aimez pas ça et ne vous inquiétez pas vous ne rater aucune information cruciale !

Je ne peux pas l'arrêter, je ne veux pas qu'il s'arrête non plus, j'ai besoin de lui, j'ai besoin de lui proche de mon cœur et de mon corps. Je suis sans doute stupide de penser que ça va changer quoi que ce soit à la situation à laquelle je fais face. Mais peu importe, parce que putain, je mérite cette nuit, rien que tous les deux, les bruits de la mer non loin et son corps chaud contre le mien comme j'aime l'avoir chaque nuit depuis que je le connais.

— Est-ce que tu as déjà eu un homme au lit avec toi Matriochka ?

Mon cœur n'arrête pas de battre de plus en plus vite tandis que mes joues se recouvrent d'une teinte rouge que je suis rassurée de ne pas pouvoir voir. Je sens simplement le souffle chaud d'Anton contre mon oreille et contre mon cou dans lequel il met une application ultime à déposer des baisers, il me mort, il lèche, il suce, il fait tout ce qui est en son pouvoir pour me faire perdre la tête.

— Réponds à ma question.

Je déglutis et fini par secouer vivement de la tête, Christian ne sera pas un homme à mes yeux. Parce que quoi qu'il arrive, l'homme qui se teint devant moi, ses genoux de part est d'autre de mes hanches, sa carrure qui ressemble à celle d'un monstre qu'on a trop longtemps affamée. Ce soir, il ne répond plus de rien et je ne suis même sure d'être capable de faire quoi que ce soit pour l'arrêter dans sa lancée.

Il me sourit, de son sourire des plus terrifiant et qui pourtant ne fait qu'accentuer la sécrétion qui s'accumule entre mes jambes. Ses mains sont partout sur mon corps, ses lèvres font ce qu'elles veulent de ma peau laissant des marques là où il est possible d'en laisser. Il ne laisse pas un centimètre de mon corps à l'abri de ses assauts, pas un seul grain de beauté ne lui échappe, pas une seule cicatrice, tout est pour lui, je suis pour lui.

Il glisse sa main entre mes jambes et me forcent à écarter les cuisses pour se faufiler entre elles, la seconde d'après ses mains se referme sur mes hanches pour les soulever sans aucune difficulté ce qui me fait glapir de surprise. Il ne perd pas une seule seconde pour descendre mon string me laissant ma robe, du moins c'est ce que je pense jusqu'à que j'entende un craquement dans mon dos.

— Anton !

Il continue de me sourire avec un petit clin d'œil en prime qui ne fait qu'accentuer la rougeur de mes joues. Ma robe finie en lambeau dans ses mains, il la déchire entièrement ne me laissant pas une seule seconde pour la faire passer par-dessus ma tête. Elle finit de l'autre côté de la terrasse en petit morceau. Il est beaucoup plus fort que ce que j'aurais pu imaginer. Quelques secondes, plus tard, mon soutien-gorge retient la partie et je me retrouve complètement nu sous lui tandis qu'il est encore habillé.

Mais ça ne dure pas longtemps, j'attrape les plis de son t-shirt et le tire vers le haut en me redressant pour m'asseoir. Je laisse tomber le t-shirt loin de nous en laissant mes yeux descendre petit à petit sur chaque muscle de son corps que j'admire un par un. La fine ligne de poil qui finit sa course cachée par la ceinture de son jean. Mes mains viennent retrouver la boucle de sa ceinture que je me mets à détacher tandis que mes lèvres viennent se déposer lentement sur son torse, embrassant chaque muscle, chaque petit morceau de peau que je peux attraper entre mes dents. Je l'entends grogner, j'entends sa respiration s'accélérer et quand je suis à simplement de deux doigts de descendre son jean, il me saute dessus me forçant à me rallonger sa main sur mon cou et l'autre qui vient empoigner un de mes seins le malaxant entre ses doigts tandis que sa bouche vient meurtrie la mienne.

— Putain, je vais faire de toi une seule et unique bouché Matriochka, grogne Anton en resserrant sa main sur ma gorge et en venant pincer un de mes tétons ce qui me fait gémir entre ses lèvres, je m'arrêterais pas, alors n'essaye pas de t'endormir, parce qu'après le premier round, il y en aura un deuxième, et un troisième, puis un quatrième jusqu'à que je t'entende me supplier d'arrêter.

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