Dames mourrez d'offres rêches

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Alors que les idiots se ruent sur la moindre occasion de te prouver que le sexe fort est surtout maladroit, mes intentions sont aussi pures qu'elles sont lâches et volées.

Oui, je sais... Il n'y en a même pas un pour rattraper l'autre.

Mais nul besoin d'être avec toi pour être heureux, nul besoin de te conquérir. Il me suffit d'apprécier ce sentiment rare, un sourire au coin des lèvres.

Cette émotion est si intense, qu'elle se passe de caresses. Je suis béat de toi, de ton regard brûlant.

Un album de souvenirs ne saurait le décrire. Le temps lui-même ne saurait le saisir. Cet amour est éternel, ma loyauté, sans conditions.

C'est une idylle naïve qui n'a que faire des étreintes. C'est bien toi, cette muse au teint pâle dont les garçons rêvent toute la vie.

Notre histoire est dans ma tête, comme on veut croire aux licornes. Tu es naïade et je suis faune de toi. Dans ton cercueil de verre, tu songes encore à de meilleurs lendemains.

C'est mieux comme ça, j'essaie de m'en convaincre en tout cas.

Je suis peut-être un idiot assez intelligent pour te laisser tranquille. Oui, je suis bête et tu es belle. Il y aura sans doute un jour un prétendant sans histoire qui saura te comprendre.

En attendant, ô mon amour, continue - s'il te plaît - de vivre tes secondes comme des journées entières.

Le cabinet des curiositésOù les histoires vivent. Découvrez maintenant