Deadly Love T1 & T2

27 - Se sacrifier

≪War of heart - Ruelle≫

Oh bordel.

Oh bordel !

Dans l'urgence, j'attrape le bras de Liv pour l'arrêter.

- Qu'est-ce qu'il y'a ?

- Il faut qu'on se dépêche.

Elle fronce les sourcils.

- Je sais.

- Non, Manu à prévu de faire sauter certains endroits du quartiers. Je balance.

- Quoi ? S'exclame t-elle.

Je cherche dans les deux ans qui viennent de s'écouler pour voir si on a déjà utilisé des explosifs. Mais non. Il n'a jamais parlé de ça et il en a jamais était question.

Comment est-ce qu'il a pu s'en procurer ?

- Et il m'a donné l'emplacement des bombes sans le savoirs.

- Comment ? C'était à lui que tu parlais ? Me demande t-elle plus énervé encore.

- Il n'a pas était malin sur ce coup là. Je dis en l'ignorant.

Elle m'examine avec méfiance. Sauf qu'on a pas le temps. Il faut qu'on se dépêche.

- Si tu me crois pas je peut te montrer les messages.

Je déverrouille mon téléphone pour lui montrer que je ne ment pas, mais je dois sembler convaincante puisqu'elle me fait signe que ce ne sera pas la peine.

Je range alors l'appareille dans ma poche arrière et commence à visualiser le lieu dans ma tête.

- Ok. Et où est-ce qu'il les a mit ? Il est ici ?

- Non. Mais on doit se dépêcher de retrouver les autres.

Elle comprend immédiatement l'urgence et se met à courir avec moi.

Nous longeons l'avenu principale et je l'entraine sur la gauche.

L'immeuble le plus haut du quartier.

Ils nous a beaucoup servie. J'espère que personne n'est là.

Nous arrivons toute les deux devant le bâtiments mais il n'y a personnes. Étant fait avec de grandes ouvertures, il est facile de voir à l'intérieur.

- Ils ne sont pas là. On bouge.

Je me tourne pour aller ailleurs mais Liv m'arrête.

- Attend. Est-ce que tu sais quel genre de bombes il a placé ?

Je fait signe que non et elle soupire.

- Pourquoi ?

- Je m'y connais. J'aurais pu te dire leurs degrés de dangerosité.

C'est vrai que ça aurait était utile de le savoir.

- On va devoir faire sans. Dit-elle en m'emboîtant le pas.

J'aperçois sa détresse et son inquiétude dans son regards. Ça me retourne l'estomac.

- On va où maintenant ?

Au milieu de cette avenu, je me creuse la tête. Puis le prochain bâtiment me vient comme une évidence.

- Il y'en a un qu'on utilisait pour se poser et discuter. C'est l'un des seuls immeubles ici à posséder des fenêtres. Je dis.

Elle hoche la tête et me suis en courant.

On traverse l'avenue et je la dirige dans les ruelles.

On tourne à gauche puis à droite et enfin, j'aperçois l'immeuble en question.