Trente-trois : Pratique

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⚠️ TW : sex ⚠️

C'est la première fois que j'écris ce genre de scène et je n'en suis moi même pas satisfaite alors s'il vous plaît soyez indulgent.

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PDV Enola :

- C'est... Tu... M'esclame-je en rougissant une nouvelle fois.

Il ricane pas du tout gêné que je sache ce qu'il se passe entre ses jambes. Pire il m'entoure le ventre de l'un de ses bras et me colle encore plus contre lui et donc contre la partie la plus dur de son corps. Je déglutis difficilement lorsque je remarque que la bosse est loin d'être petite.

Il interprète ma réaction comme de la peur alors il me relâche pour que je puisse fuir à tout instant. Mais aussi surprenant soit il, je me colle encore plus à lui. Nos corps sont si proche que j'ai mal là où son pénis me touche.

Je me dandine alors de droite a gauche pour essayer de déplacer le point d'appuie mais je m'arrête instantanément lorsque qu'il lâche un bruit très proche du gémissement.

- Tu m'aides pas trop là. Déjà discuter de sexe avec toi sans pouvoir te toucher est une véritable torture mais si en plus tu te frottes contre ma queue, je ne vais pas pouvoir me retenir encore longtemps de te sauter dessus.

- Et si je ne veux pas que tu te retiennes.

J'ai à peine le temps de terminer ma phrase qu'il se lève, m'éjectant de ses genoux au passage. Mais bien vite il me charge sur son épaule et part je ne sais où. La tête à l'envers, je vois passer l'encadrement de la porte du bureau puis le bas des murs du couloirs et enfin l'encadrement de la chambre.

Il me jette sur le lit, ce qui m'arrache un petit cris de surprise. En deux temps trois mouvement je me retrouve allongée sur le dos avec son corps qui surplombe le mien. J'ai à peine le temps de croiser son regard qu'il fond sur mes lèvres. Et si j'ai trouvé son dernier baiser dominant celui là l'est trois fois plus.

Mon corps est complètement prisonniers du sien, il s'appuie sur l'une de ses mains pour ne pas m'écraser tandis que l'autre se perd dans ma tignasse. Sa langue s'impose dans ma bouche et semble vouloir y régner en maître. Il emprisonne ma lèvre inférieure entre ses dents et la mordille.

Il fini par délaisser mes lèvres pour faire courir sa bouche le long de ma mâchoire. Il continue son chemin jusqu'à mon cou. Je me cambre quand il me lèche puis souffle. Il continue ses baisers en insinuant l'un de ses jambes entre les miennes pour me maintenir en place.

Mon esprit est tellement concentrer sur les sensations qu'il me fait éprouver que je ne ressens meme même pas une fraction de peur. Ma respiration est haletante et mon rythme cardiaque s'affole mais ce n'est pas dû à la panique juste au plaisir.

Ses dents viennent rejoindre la partie, il saisie un morceau de peau et se met à l'aspirer comme s'il essayait de me voler mon âme. Des picotements parte de l'endroit qu'il malmène, traversent mon corps et viennent s'échouer dans mon bas ventre. Je n'avais jamais ressenti une telle chose mais c'est loin d'être désagréable.

Lorsqu'il se recule en passant une dernière fois sa langue sur mon cou, je sais que je vais en garder une marque. Mais étrangement ça ne me dérange pas. Bien au contraire je me sens fière et heureuse de porter ses marques.

Son regard, dont je ne distingue presque plus les iris tellement ses pupilles sont dilatées, retombe dans le mien et il me questionne :

- Ça va ? On peut continuer ?

J'hoche vivement la tête.

- Je veux des mots mocciosa.

- Ne t'arrêtes pas. S'il te plaît. Je le supplie.

Il laisse échapper un rire de contentement et replonge dans mon cou. Mais cette fois il continue sa descente sur le haut de ma poitrine. Sa main quitte mes chevaux et se pose délicatement sur mon sein droit. Il le caresse à travers mes vêtements, ballade ses doigts sans jamais en toucher le centre qui pourtant est tendu.

Il se redresse une nouvelle fois et me questionne silencieusement. Je ne perds pas de temps et lui donne mon consentement. Alors il se saisie de mon pull et me le retire puis passe sa main dans mon dos et dégrafe mon soutien-gorge. Je me retrouve avec pour seul haut mon teeshirt, qui ne cache pas du tout le fais que mes tétons pointent.

Un dernier regard pour vérifier que je suis toujours ok et il glisse son indexe autour de l'une de mes pointes érigées. Son manège dure quelques secondes avant qu'il ne passe à l'autre. Il me torture en les frôlant sans jamais réellement les toucher.

- S'il te plait...

Ma supplique fait office d'ordre puisqu'il met fin à ma souffrance. Je me cambre et laisse échapper un gémissement lorsqu'enfin ses doigts pincent doucement l'un de mes tétons.

Et sans m'en rendre compte, mon geste fait appuyer sa jambe pile sur le centre de mon désir. Alors timidement je me frotte contre pour tenté de faire diminuer le feu qui prend de plus en plus de place dans mon bas ventre.

Mes mouvements font également frotter son entre-jambe contre ma hanche ce qui lui tire un grognement. Alors je continue pour tenter de lui faire autant de bien que ce qu'il m'en fait. Je me rend compte que mes yeux se sont fermés tout seul alors je les réouvrent et l'image qui me fait fasse me tire un gémissement de plus.

Et sans que je m'y attende Lamario s'écroule sur moi, mettant fin au moment, tandis qu'une chaleur humide se répand sur ma hanche. Il inverse immédiatement nos position pour ne pas m'écraser.

En sentant que son pantalon est mouillé à l'entre-jambe je comprends qu'il vient de jouir. Et bizarrement je ne me sens pas sale mais au contraire très fière d'avoir réussi à lui tirer du plaisir.

- Excuse moi je ne l'ai même pas senti venir. Laisse moi deux minutes et on ira se nettoyer.

* * *

On a pris notre douche chacun de notre coté puis nous nous sommes rejoins sur le lit. Il n'est pas du tout l'heure de dormir mais toutes les émotions de la journée m'ont épuisée. Alors je ne dis pas non quand Lamario s'allonge et m'invite à en faire de même sur lui.

Il a baissé les volets pour que la chambre sois plonger dans la pénombre. Et cette pénombre me rend confiante et même entreprenante. Alors quand il m'interroge sur mes ressentis, je n'hésite pas à lui dire que j'aurai voulu qu'il n'y est pas la barrière de nos pantalons entre nous et que j'aurai aimé le toucher moi aussi.

Il me demande de me relever puis retire son teeshirt, ne restant quand pantalon de jogging tandis que je suis en teeshirt et en legging. Il m'incite à le découvrir de mes mains, choses que je fais timidement dans un premier temps puis je prends confiance au fur et à mesure et descend même mes mains sur ses abdos qu'il contracte sous mes caresses.

Dans un premier temps, j'explore son torse avec mes mains puis finis par y ajouter mes lèvres. Il ne prononce pas un mot, se contentant de m'observer et de se tendre quand je le touche à des endroits plus sensible que d'autre. Et bien vite son pénis redevient aussi dur que du béton mais il ne semble s'en soucier alors je préfère moi aussi l'ignorer.

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Calor, calor.

J'espère que ce petit moment de rapprochement vous a plus. Et que vous n'êtes pas trop déçu qu'ils ne soient pas allés plus loin. Mais j'essaye de faire en sorte que mon histoire soit le plus réaliste possible.

Ça va venir ne vous en faites pas. Surtout qu'il reste au moins 17 chapitres. Et il peut s'en passer des choses en autant de chapitres.

Aussi pour ceux qui ont lu le dernier chapitre dès qu'il ait sorti, je vous informe que j'y ai rajouté ka fameuse liste. J'ai passé 1h30 à la faire alors allez au moins y jeter un coup d'œil.

Je suis enfin en vacances alors j'avais comme objectif de poster pendant la semaine au moins 3 chapitres mais j'ai énormément de choses de prévu donc a voir si j'arrive au moins à en poster un.

À très vite. 😘

Alzarsi | T.2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant