Alzarsi | T.2

Quarante : Idée de génie...

⚠️ TW : sex ⚠️

---------------------------------------------------------
Quatre semaines plus tard :

PDV Enola :

Après que j'ai validée les plans de l'architecte et de la décoratrice. Toutes deux des femmes pour leur propre sécurité. Les quelques travaux à faire dans la maison ont pu commencer. Et au vu la pression que leur à mis Lamario il n'est pas si étonnant que nous ayons déjà pu emménager alors que ça ne fait même pas un mois.

Lamario m'a tout laissé choisir à condition que je lui montre avant de faire quoique ce soit. C'est donc ce qu'il s'est passé. Que ce soit du mobilier des salles de bains à la déco de son bureau en passant par le choix des margelles pour la piscine, c'est moi qui est tout choisi. Et pour quelqu'un comme moi, avoir le choix sur absolument tout les petits détails de son futur lieu de vie représente beaucoup.

Bon après il a été regardant sur le mobilier de la chambre. Et j'ai beau avoir essayé de négocier, je n'aurai pas le lit de mes "rêves" car il ne convenait pas à ses petites activités nocturnes. Pas toujours nocturne d'ailleurs.

Nous avons donc passer la première nuit ici hier soir et ça c'est très bien passé. En à peine quelques heures je me suis senti chez moi. Puisque la maison est déjà complètement fonctionnelle j'ai pu profité du soleil de l'Italie et bronzer au bord de la piscine pendant que la brute travaillé dans son bureau.

J'ai aussi passé pas mal de temps dans la bibliothèque aujourd'hui. Et puisqu'elle est juste en face du bureau et que j'avais laissé la porte ouverte, Lamario a pu m'observer une bonne partie de la journée. Il a même fini par me rejoindre ne tenant plus de me voir sans pouvoir me toucher.

Par contre les employés ne commencent que demain et si ça ne nous a pas posé de problème pour le jardinier ou la femme de ménage. Quand il s'agit du cuisinier, là nous aurions préféré ne pas avoir à nous faire à manger nous même.

D'ailleurs pour la majorité des repas, Lamario nous a fait livré de quoi manger. Mais ce soir il a voulu me faire la surprise de me faire de "vrais" lazagne italien comme seule sa mère savait en faire. Et si je suis plus qu'heureuse qu'il s'ouvre à moi, j'espère sincèrement que sa mère cuisiner bien mieux que ça parce qu'à ce niveau c'est de la maltraitance.

En vrai j'abuse un peu ce n'est pas si mauvais mais il m'a habitué à manger étoilé à tous les repas alors son espèce de bouilli sans gout mais trop salé ne convient pas à mes papilles devenue compliquées. Je fais tout de même mine de me régaler, bien que je joue avec ma nourriture plus que je ne la mange, car il a fait des efforts pour réaliser ça.

- Tu n'as pas faim ce soir ?

- Euh... si si.

- Alors pourquoi tu ne manges pas ?

- Rien pour rien, j'étais juste perdu dans mes pensées.

- Alors manges maintenant. M'ordonne-t-il en voyant que je n'apporte toujours pas la fourchette à ma bouche.

Je me force à prendre une bouchée de plus mais c'est plus fort que moi, une grimace fini par m'échapper. Et malheureusement pour moi il ne la rate pas.

- Quoi c'est pas bon c'est ça ?

- Euh... Je dirais plutôt que ce n'est pas à mon gout. Hasardai-je craignant qu'il le prenne mal.

Mais il se contente de rigoler puis de me préparer de simple pâte en s'excusant.

* * *

- C'était si horrible que ça ?