⚠️ TW : viol, attouchements, sexe non consenti ⚠️ Âme sensible s'abstenir
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Quatre mois et trois semaines plus tard :
PDV Enola :Un sourire qui va me replonger dans mes plus horribles cauchemars. Un sourire qui me rappel bien trop celui de Rick ou encore de Filipo et ses hommes en général.
L'homme qui me domine en ce moment même, finit par reprendre une expression plus sérieuse avant de reposer sa main sur ma jambe droite, à hauteur de mon genou. Il ne me laisse même pas le temps de m'y "habituer" que déjà sa main prend la direction de la jonction de mes cuisses. Immédiatement ma respiration devient aussi saccadé qu'un geek après un 300 mètre, des larmes ou plutôt les chutes du Niagara dévalent mes joues et je me tortille désespérément dans l'espoir de retarder l'inévitable.
A quelques petits centimètre de mon intimité il stop son ascension sans pour autant retirer sa main. Malgré ma perte de contrôle je le sens me jauger du regard, peut-être dans l'attente que je me calme ou tous simplement pour admirer mon effroi. Après de longues secondes d'inactivités de sa part, et pour quoi que ce fût, il finit par détourner le regard. Sa deuxième main elle soulève mon tee-shirt pour permettre à sa compère de s'y glisser.
Et à ce moment ce n'est plus le contrôle ni la confiance que je perd mais bien la notion de réalité. Alors que sa main commence de petits cercles sur mon ventre dénudé, je ne parviens plus à savoir si je suis éveillé ou encore en pleins cauchemars. Car ce n'est plus Danil l'infirmier qui me touche mais bien un des hommes de Filipo.
Je sens des mains qui commence à me déshabiller, j'essaie de les repousser mais mon corps ne répond plus. Il est comme figé, je n'arrive pas à bouger le moindre muscle.
Sa main agrandi le diamètre des cercles au fur à mesure. Tellement rapidement que j'ai à peine le temps de prendre trois inpirations avant que l'un de ses doigts ne vienne frôler l'un de mes seins. Bien entendu il ne s'arrête pas à là, non il continue jusqu'à ce que sa main recouvre entièrement mon sein gauche. Alors qu'il le presse sans douceur, sa deuxième main entame la même technique que la première pour se retrouver dans la même position sur le droit.
Je ne veux pas qu'ils me touchent mais mon corps semble avoir cessé de fonctionner.
Des mains.
Des mains partout.
Des mains partout qui me touche.
L'un de ses pouces survole mon téton avant de me le pincer brutalement, la douleur me fait, je pense, lâcher un gémissement. Mais ma douleur ne le retiens pas, au contraire puisqu'il soulève complètement mon tee-shirt pour dévoiler le haut de mon corps à son regard vil.
Les hommes de mon bourreau me déshabillent avec violence.
Me maintiennent.
Me lèchent.
Me mordent.
Me marquent.
Me tuent à petit feu de leur bouche et mains sales.
Sa bouche rejoint ses mains et il aspire l'un de mes tétons avant de le mordre puis de lui asséner un coup de langue furtif. Il recommence plusieurs fois sur le même avant de passer à l'autre.
Certains s'en prennent à ma poitrine d'autre à mon cou ou encore à mon ventre. Je sens aussi des respirations et des bouches même sur mon visage pourtant noyé des mes pleures. Une main se place sur mon cou pour me maintenir mais j'ai déjà abandonné toutes luttes.
Mon pantalon m'est violement enlevé, mon tee-shirt arraché. Je me retrouve en sous-vêtement, toujours impuissante. On me déchire ma brassière avant que ma culotte ne subisse le même sort. Me voilà maintenant nu devant je ne sais combien d'homme avide de mon corps.
Il fini par se désintéresser de ma poitrine et dirige l'une de ses mains vers mon entre-jambe. Il recommence son petit jeu de cercle autour de celui-ci mais cette fois au lieu de les agrandir il les rétrécit.
Je sens un genoux qui s'immisce entre mes cuisses et qui les écarte de force. Mon corps ne répond toujours pas et même si c'était le cas mes membres sont maintenu en place par ces hommes répugnants qui regardent comme si mon entre-jambe était le match de l'année. L'un d'eux se place entre mes jambes et m'enfonce sans délicatesse deux de ses doigts. Pendants que ce que je pense être deux autres me tiennent.
Puis après quelques minutes ils se retirent me laissant reprendre mon souffle. Mais ce n'est que pour quelques courtes secondes. Mon corps ne répond toujours pas et même si c'était le cas mes membres sont maintenu en place par ces hommes répugnants qui regardent comme si mon entre-jambe était le match de l'année.
Lorsque les cercles arrivent enfin à mon ouverture, il empoigne mon sexe à m'en faire mal.
Soudain alors que je tente de prendre une inspiration de plus, et que je me dis que de toutes façon je suis déjà morte intérieurement et qu'ils ne pourront rien me faire de pire que ce que ce qu'ils m'ont déjà fait. L'un deux baisse son propre pantalon et son caleçon d'un seul mouvement, exhibant ainsi son membre tendu et dressé.
Il m'enjambe pour venir s'asseoir sur mes cuisses, se saisi de son sexe et l'approche dangereusement du mien. Dans un premier temps il se contente de se frotter à moi dans une friction désagréable mais bien vite il s'allonge sur moi de tout son long. Me bloquant sous son corps avant de s'emparer une fois de plus de son pénis, qu'il avait lâché, pour l'aligner à mon ouverture.
Puis toujours sans se préoccuper de mon état, il me pénètre d'un doigt à travers mes habits.
D'un rigoureux coup de reins il me pénètre, me déchire, me tue, me vole mon âme, se saisis de mon sexe, de mon intimité et de ma virginité. Cette dernière semble d'ailleurs être le dernier rempart de mon corps puisqu'en vérité il est obligé de s'y reprendre à deux fois avant de pouvoir s'enfoncer en moi jusqu'à la garde.
Et si son premier coup de rein m'a brûlé les entrailles, le deuxième lui fait naître en moi une douleur si forte que mes cordes vocales qui jusque là semblaient avoir cessé de fonctionner laisse échapper un cri à en déchirer le cur des plus imperturbables. J'en viens même à perdre connaissance, lui laissant le plaisir de m'utiliser comme une poupée inanimée.
Après quelques va-et-vient il se retire. Puis quitte ma chambre en me soufflant de passer une bonne nuit. M'obligeant à rester dans des draps souillés de mes larmes, de mon vomis et peut-être même de mon urine. Parce que si ma conscience à perdu le fil il y a un bon moment, mon corps lui ou plutôt ma terreur a continué à s'exprimer.
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Chapitre assez, même très dur a écrire, peut-être que vous allez trouver que ça beaucoup même trop et que au bout d'un moment il faut changer de registre. Mais ce chapitre me tenez a cœur parce qu'il marque la fin. La fin de quoi me direz vous, et bah de beaucoup de choses mais surtout d'Enola. Ce qui en fait un chapitre très important et surtout à partir de maintenant la véritable intrigue du tome 2 va pouvoir commencer.
Sur ce j'espère que le chapitre vous a quand même plus à dimanche normalement. Prenez soin de vous 😘.
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Alzarsi | T.2
RomanceAttention ceci est le tome 2. *** Après plus de cinq mois en centre de réhabilitation Enola ne va toujours pas mieux. Elle ne supporte toujours pas les contactes physiques malgré les nombreuses tentatives du centre. Son mental est au plus bas, plus...