Trois mois plus tard :
PDV Enola :
Ça fait une éternité que je suis ici et pourtant il n'y a toujours pas de réel progrès me concernant. La psy et les infirmières ont beau regorger d'idée pour tenter de me faire rebondir rien ne marche et rien ne marchera tant que je ne l'aurais pas décidé. Bien évidemment je fais des efforts ou plutôt je prends sur moi l'ors des différentes activités visant à amoindrir ma peur du monde. Mais c'est plus car je n'ai pas le choix et que je veux en finir vite.
Depuis une semaine ils se sont mis en tête qu'à force d'être confronté aux autres et surtout à leur touché mon corps finirai tout seul par accepter le toucher de n'importe qui. La psy a bien essayé de faire comprendre à l'infirmière chef que ce n'était pas une bonne idée étant donné mes traumatismes, mais j'ai appris récemment qu'elle ne pouvait que proposer une technique visant à soigner ses patients et non en imposer ou en interdire. Elle ne peut donc que tenter dans discuter avec moi lors de nos séances pour limiter les terribles répercutions que ça a déjà eu sur moi.
Seulement selon l'infirmière chef, ou l'autre mégère comme je trouve plus convenable de l'appeler, ce ne sont que de petites répercutions qui disparaitrons bien vite une fois que ma guérison se mettra réellement en place. Je ne sais pas ce qu'elle compte me faire de plus mais chacune de ses dispositions ressemblent bien plus à de la torture plutôt qu'à une quelconque technique de soin. Entre me ligoter au lit pour me forcer à y dormir, m'envoyer chaque jour une infirmière différente pour sois disant m'habituer à être avec des personnes que je ne connais pas et maintenant m'enfermer pendant une heure entière avec un homme, qui plus et différent à chaque fois, pour que je me fasse à la présence des hommes.
Peut-être que la prochaine fois elle me fera coucher avec un homme qui sait ?
Le pire c'est que cette mégère en serait bien capable, je sais pas où elle a trouvé son diplôme mais c'est inquiétant. Probablement dans un Kinder surprise enfaite.
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Quatre mois et une semaine plus tard :
Je retire ce que j'ai dit, cette folle a bien trouvé pire. Depuis trois jour, chaque soir on me ligote à mon lit comme depuis une éternité mais maintenant en plus une infirmière vient me toucher. Pour l'instant elles se contentent de me toucher les bras et les jambes jusqu'à mis cuisse mais c'est déjà bien trop rapide pour moi. Tellement rapide et surtout bien au dessus de ce que j'accepte en temps normal que hier soir elles ont été obliger de me redétacher pour changer mes draps car j'avais vomi de terreur.
Les trois infirmières de garde ce soir là m'ont largement réprimandé pour leur avoir rajouté du travail mais je n'y peux rien moi si mon corps manifeste son dégout d'une manière un peu plus violente que d'habitude. C'est plutôt et même carrément de leur faute, elles avaient cas voir et écouter les signes annonciateur de ma détresse plus tôt. A ce que je sache je ne les ai pas forcé à me restreindre puis à me toucher sans mon consentement.
Au contraire, mes yeux les ont supplié de ne pas me refaire subir ça. Devant leur absence de réaction j'ai même fini par hurler un non mais encore une fois elles sont restées de marbre face à ma détresse plus que visible. Et après l'incident, comme elles ont choisi de nommer l'expression de ma détresse, elles m'ont de nouveau attaché a ce lit de malheur mais cette fois il n'y a pas eu de lutte puisque j'étais trop sous le choque pour faire quoique ce soit. Après leur besogne elles ont quitté ma chambre en me disant que si je recommençais, elle me laisserait m'étouffer dans mon vomi.
Rien que dit penser, j'en tremble encore. Je vais sérieusement commencer à penser que les personnes de cet espèce d'hôpital ont une dent contre moi. Et une sacrément grosse dans ce cas. Ou alors peut-être que finalement c'est Lamario qui est derrière tous ça. Et qu'il veut me punir de lui avoir fait perdre son temps et son argent puisque je ne présente aucune avancée dans le sens de la guérison.
Mais bon quand même ce n'est pas son genre de me punir en utilisant mes traumatismes et surtout en voulant me faire croire que c'est pour mon bien. Surtout qu'il a été on ne peut plus clair dans sa lettre, il ne veut plus entendre parler de moi et a déjà rayé, de la surface de la Terre, mon existence depuis un moment. Ce ne serait donc pas très logique qu'il continu à s'occuper et se préoccuper de moi après des mois. Tout de même je pensais pouvoir lui faire confiance et je me suis lourdement trompé alors il n'est pas impossible que je me trompe sur ça aussi.
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Chapitre avec encore une fois énormément de retard et pas très long je m'en excuse mais c'est déjà écoutez. Je sais que ça doit être très pénible pour vous de ne pas avoir la suite et je m'en excuse encore une fois mais entre le faite que je sois en vacances et que je trouve les premiers chapitres pas très intéressant ça ne m'aide pas du tout à trouver la motivation pour écrire.
Alors comme je l'ai dit à certain d'entre vous, je vais arrêter de me forcer. Je vais simplement écrire quand j'en aurais envie parce qu'a force ce qui est devenu un plaisir et un moyen d'échapper a la vie quotidienne est devenu une source supplémentaire de stresse dans ma vie. Je vous remercierai donc de ne pas me mettre la pression pour savoir quand la suite va sortir, elle sortira ça c'est sûr mais il va falloir encore être patient et surtout de bonne fois.
Surtout que les premiers chapitres ont été très peut lu par rapport au tome 1 alors ça ne me motive pas à me dépêcher d'écrire la suite pour enfin arrivé au chapitres d'après qui eux me donne très envie d'écrire, c'est une sorte de cercle vicieux.
Merci de votre compréhension, je reste quand même disponible sur insta et wattpad si l'envie vous prend de m'envoyer un message. Mais par pitié ne venez pas me demander si il y aura la suite un jour.
Sur ce prenez soin de vous et à la prochaine 😘.
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Alzarsi | T.2
RomantikAttention ceci est le tome 2. *** Après plus de cinq mois en centre de réhabilitation Enola ne va toujours pas mieux. Elle ne supporte toujours pas les contactes physiques malgré les nombreuses tentatives du centre. Son mental est au plus bas, plus...