Trente-six : Premier plaisir

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️ TW : sex ⚠️

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PDV Lamario :

Je la surplombe totalement, son petit corps en dessous du mien se cambre au rythme de mes caresses. Je ne quitte pas son visage des yeux pendants quelques secondes pour être sûr qu'elle soit toujours consentante. Ses traits sont crispés mais pas de peur ou de douleur, seulement de plaisir.

Si elle n'était pas bloquée par mon corps, elle se serait déjà retrouver parterre tellement elle se tortille. Mes jambes de chaque coté de son corps font office de rempart avec le monde extérieur. D'une poigne douce, je lui maintiens les mains au-dessus de la tête. C'est simplement pour qu'elle ne puisse pas m'atteindre et non pour véritablement la contraindre.

Pas que je ne veuille pas qu'elle me touche, non au contraire je meurs d'envie de sentir ses petites mains douce parcourir mon corps. Mais je ne veux pas souiller, une fois de plus, mon caleçon comme un ado. La première fois m'a suffit. Je vais me souvenir de ce moment de honte même après ma mort.

Voulant récupérer ma main pour la ramener sur ses seins sans qu'elle ne retente de m'atteindre, je retire ma seconde main d'entre ses jambes pour qu'elle réouvre les yeux. Il ne faut qu'une dizaine de petite seconde pour que je retombe de nouveau pour ses beaux yeux couleur océan profond.

- Je vais retirer ma main, ne bouge pas les tiennes.

Elle acquiesce rapidement d'un signe de tête alors je ne perds pas de temps et reprend mes mouvements sur son sexe. Immédiatement ses yeux se referme et même si je préfèrerais continuer de me perdre dans son regard pleins de désir, je la laisse faire pour cette fois.

Je relâche ses poignés pour que ma paume vienne se presser sur l'un de ses monts érigés par le désir. Et si pendants un certains temps je peux continuer à lui faire plaisir sans encombre, lorsque je commence à mettre plus de pression sur son sexe, elle se cambre à s'en casser la colonne et tente de m'attraper.

- Range tes mains ou je te les attaches. La menace-je sans arrêter de la torturer pour autant.

Elle obéit à contre cœur mais obéit tout de même alors je lui viens en aide en replaçant ma main sur ses poignés, afin qu'elle n'est plus besoin de se concentrer sur ça mais seulement sur le plaisir que je lui provoque.

De ma bouche je titille ses tétons, les pinçant entre mes lèvres pour lui provoquer une légère douleur qui je sais combiné à mon indexe qui frotte son clitoris à travers le tissu de sa culotte, va lui provoquer un véritable raz-de-marée de sensation.

Et ça ne loupe pas, son corps entier se tend. Mon nom s'échappe de ses lèvres dans un soupir et je peux même sentir son sexe pulser à travers son sous-vêtement. Après quelques secondes son corps devient aussi mou qu'une guimauve tandis qu'une expression de bien être vient prendre place sur son visage.

Je me retire de sur elle pour venir la prendre dans mes bras. Quand je nous couche sous les draps et éteins la petite lumière, elle ne réagit pas trop stone et fatiguée de l'orgasme que je viens de lui donner pour émettre le moindre mouvement. Ma tête n'a pas encore touché l'oreiller que je pense qu'elle dors déjà.

Pour moi, c'est une tout autre affaire. Je suis excité à mort et dans l'incapacité de me soulager. Et avoir les doigts encore un peu humide de son plaisir ne m'aide en rien à faire diminuer mon désir.

Si elle n'était pas aussi paisible allongée sur moi, je serais allé me soulager dans la douche. Mais elle m'utilise à la fois comme un matelas, un oreiller et un doudou alors je n'ose pas faire le moindre mouvement.

* * *

Bien évidemment j'ai très mal dormis. Je suis resté éveillé une bonne partie de la nuit et lorsqu'enfin j'ai réussi à m'endormir. J'ai rêvé des fessés que je lui ai mise. La prochaine fois que j'ai la brillante idée de me venger de ses négociations qui m'ont excité en profitant d'un massage pour l'exciter elle aussi, je la laisse également sur sa faim.

Mais ce n'est pas pour autant que je regrette de lui avoir donner son premier orgasme. Au contraire j'en suis même fier. Très fier. Toutes ses premières fois m'appartiennent alors je compte bien les savourer. Toutes.

Ce matin je lui ai proposé d'aller promener Raik et un magnifique sourire m'a répondu. On s'est donc rapidement habillé et nous sommes sorti nous promener. Main dans la main comme un véritable petit couple nous avons arpenté les rues de ma ville.

La journée a suivis son court sans accros et nous a mené à ce moment précis où je m'apprête à lui poser une question de la plus grande importance pour notre avenir. J'ai fait les choses bien, je nous ai commandé un repas digne d'un cinq étoile que j'ai fait livrer dans notre appartement pour plus d'intimité. Afin que ce moment n'appartienne qu'à nous.

Lilio est même venue chercher Raikan pour qu'on soit réellement seul. Il n'a pas pu s'empêcher de faire une réflexion sur l'air heureux qu'arbore Enola depuis ce matin. Ce qui à crée une ambiance plus que gênante pour ma petite sauvage.

Quelques heures plutôt :

J'ai tout préparé pour ce soir, j'attends impatiemment que Lilio ramène son cul pour me débarrasser de mon pot de colle de chien. Il est si loyal envers moi qu'il ne me laisse même pas profiter seul de ma femme alors je suis obligé de le confier à l'autre con pour pouvoir être tranquille.

D'ailleurs le fameux con vient de pénétrer l'appartement, il ne prend même pas le temps de me saluer qu'il se dirige directement vers Enola pour la prendre dans ses bras.

Leur étreinte dure d'ailleurs bien trop longtemps à mon gout et lorsqu'enfin le truc qui me sert de bras droit se recule de ma femme, il se fige la bouche grande ouverte et passe son regard d'elle à moi rapidement.

Un sourire narquois reprends rapidement place sur son visage avant qu'il ne commence à chuchoter à l'oreille d'Enola. Je ne sais pas exactement ce qu'il vient de lui murmurer mais vu la teinte que viennent de prendre ses joues, j'ai bien ma petite idée du sujet abordé.

Je m'apprête à le reculer de force mais il s'écarte de lui même et s'écrie :

- Oh lala mes enfants grandissent si vite ! Ils ont déjà trempé le biscuit ! Mais vous savez faut se protéger, pas que je ne veux pas de mini Lamario, quoi que...

- Ferme ta putain de gueule. Dis un mot de plus et lorsqu'on retrouvera ton cadavre aucune technologie ne sera en capacitée de dire à quelle espèce tu appartenais.

Il fait le bon choix de se taire et quitte les lieux limite en courant. Mais Lilio ne serait pas Lilio s'il n'avait pas oublié de prendre avec lui la raison de sa venu alors il a dû faire demi-tour.

Et bien sûr il n'a pas pu s'empêcher de nous conseiller sa marque de capote préféré. Enola était aussi rouge qu'une écrevisse et elle a fuit mon regard tout le reste de la journée.

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Buongiorno !

Bon finalement j'ai eu le temps d'écrire ce matin. Mais si j'ai le temps j'en publierai quand même trois la semaine qui arrive.

Alors on en dis quoi du petit dominant qui fait passer le plaisir de SA FEMME avant le sien ?

Vous pensez qu'il va lui demander quoi ?

Je tenais à vous dire que à la base le tome 2 devait être plus court mais il sera finalement plus long que le 1. Déjà je comptais qu'il n'y ait que 40 chapitres mais il y en aura au moins 50. Et puis si je compare le nombre de pages des deux tomes, pour le même nombre, le tome 2 à un chapitre de moins. C'est-à-dire que par exemple si je prends la page 210, pour le tome 1 ça correspond au milieu du chap 37 alors que le tome 2 c'est le début du 36.

À bientôt. 😘

Alzarsi | T.2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant