𝐍𝐎𝐔𝐕𝐄𝐀𝐔 𝐃𝐄́𝐏𝐀𝐑𝐓 - 𝐑𝐈𝐂𝐇𝐀𝐑𝐋𝐈𝐒𝐎𝐍

52 . bienvenue à manchester

OLIVIA PRIT Julia dans dans ses bras.

— J'espère qu'on se reverra bientôt, fît la brune. Et n'oublie pas de me raconter tout ce qu'il se passe avec Vinicius.

— Ne t'inquiète pas pour ça, Oli'. Maintenant, c'est à ton tour de venir à Nova Venecia.

Elle hocha la tête avant de lui faire une dernière bise et de se décaler pour rejoindre Richarlison.

— Promis, on se refera bientôt une soirée pyjama.

— Bien-sûr. Je compterai les jours jusqu'à ce qu'on en refasse une.

— Moi aussi. Bonne reprise pour les matchs, casse la baraque devant New Castle.

— Si je suis titulaire, déjà.

— T'arrives toujours pendant les dix dernières minutes.

— Tout le match à eu le temps de se faire. Je ne suis qu'un petit cheveux sur la soupe.

Elle rigola avant de déposer un baiser sur sa joue.

— Sur la joue ? s'étonna-t-il.

— J'innove. Il ne faut pas toujours faire au même endroit.

Elle lui fit un clin d'œil avant de se décaler vers Marcus.

— Mon ami Marcus. On se revoit bientôt, prends soin de toi et de ma meilleure amie.

— C'est un peu la mienne aussi, lui murmura-t-il avec un sourire narquois aux lèvres.

— Chut, répondit-elle en rigolant. Non, je plaisante. T'as l'air d'être un super meilleur ami pour Julia.

Il hocha positivement la tête.

— Content que tu t'en rendes compte.

Ils se sourirent. Puis Olivia attrapa sa valise.

Deux semaines plus tard

Olivia prit Martha dans ses bras, laissant quelques larmes couler le long de ses jours.

— Vous avez mon numéro, de toute façon, fit la brésilienne.

— Je le garderai précieusement. Dès que t'auras besoin, grand-mère Martha sera là.

— Merci, mamie.

Martha sentit son cœur fondre dans sa poitrine. Si elle pouvait aider, c'était le principal. Rien ne l'animait plus que le bonheur des gens qui l'entouraient. Quand elle avait trouvé Olivia, elle semblait seule et perdue et c'était une victoire pour l'italienne d'avoir réussi à lui redonner le sourire pendant son voyage. Olivia était devenue comme une petite-fille pour elle tant elles avaient passé du temps ensemble. C'était devenu des vraies amies et elles avaient une belle amitié, loin d'être toxique. C'était une page qui tournait. Sept semaines qui étaient passées vite.

— Prochain arrêt à Manchester alors, remarqua Martha avec un sourire aux lèvres.

— Mon meilleur ami était à Londres il y a trois jours. À quelques jours près, j'aurais pu directement rentrer à la maison. Deux jours à Manchester, c'est cool.

— Au moins, tu pourras visiter Manchester pour la première fois, faut voir le côté positif, ma fille. Tu m'appelles dès que t'es arrivée en Angleterre ?

— Bien-sûr. Avant même que j'aie attrapée ma valise, vous aurez eu de mes nouvelles.

— Très bien. Repose-toi bien après ces longues semaines.