OUTER BANKS - Un été pas comme les autres..

48.

Riley.

Chez les Thorthons, 19 heures.

- TOPPER OUVRE CETTE PUTAIN DE PORTE-

Je tapais sur ma porte pour la énième fois, mais rien.

J'étais enfermée.

Qui l'aurait cru ?

Depuis que ma mère avait acceptée de rester ici, j'avais passer la plupart de mon temps avec ma bande.

Et évidemment, ça n'avais plu à personne dans cette maison.

Il y a plusieurs jours, ma mère m'a posé une condition : je reste ici, mais fini les pogues.

Qu'est-ce qu'elle croyais ?

Je n'avais évidemment pas accepté.

Elle m'aurait immédiatement emmenée chez moi, si elle n'avais pas trouver un poste de travail ici.

Donc, pour éviter tout contact avec mes amis, elle avait décidé de m'enfermer, en prenant soin de bloquer ma fenêtre.

J'étais comme une souris dans un piège.

Topper avait eu la bonne idée de proposer de m'enlever mon téléphone. Connard.

C'était un véritable cauchemar.

Tout le monde dans cette maison me prenait pour une folle hystérique, qui ne demandait pourtant qu'à prendre l'air.

J'étais tétanisée.

Avant ça, ma mère m'avait demandée de faire mes adieux à mes amis. Ce que je n'ai évidemment pas fait.

Enfin, j'avais juste proposer à Jj que l'on fasse un break, histoire que personne ne s'inquiète pour moi.

Il l'avais très mal pris, et on s'était très fortement disputés.

Ses paroles tournait en boucle dans ma tête.

***

flashbacks.

- Écoute J', j'crois qu'on devrait faire un break-

J'avais évidemment tout, sauf envie de me séparer de lui.

- U-Un break, tu dis ? s'énerva t'il.

Mon cœur se tordait dans tout les sens. Je détestais ma mère pour m'obliger à m'éloigner des êtres les plus chers à mon existence.

- Tu veux rompre avec moi au moment où j'ai le plus besoin de toi, sérieux ? répliqua le blond.

- Non ! Bien sûr que non-

- Donc, J'ÉTAIS QU'UN PUTAIN DE JEU POUR TOI RILEY ?!

Je pouvais sentir la colère du Maybank à des kilomètres. Juste le fait qu'il prononce mon prénom me fit sentir qu'il était sérieux. J'étais en train de le blesser, et je détestais ça.