🇸🇦الحب كالقمر، يتألق في الظلام وينير الطريق
« Allah n'impose à aucune âme une charge supérieure à sa capacité. » S2;V286
Une existence marquée par la douleur, une existence où la souffrance est sans cesse présente, et un amour empreint de tourmen...
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Point de vue, Faris.
Najla est dans mes bras, luttant contre la douleur, cherche désespérément un peu de réconfort. Son corps tremble légèrement et je peux sentir la chaleur de sa fièvre.
Jamal, les traits crispés de concentration, conduit rapidement pour nous ramener à la villa, jetant des coups d'œil inquiets dans le rétroviseur. Le silence dans la voiture est seulement interrompu par les respirations lourdes de Najla et le ronronnement du moteur.
Sur le trajet, l'épuisement la submerge lentement. Ses paupières se ferment malgré elle, et son souffle devient plus calme, plus régulier. Je la serre un peu plus fort, tentant de lui offrir la protection et la chaleur dont elle a besoin. La voir si vulnérable éveille en moi une vague de sentiments protecteurs que je peux pas ignorer.
Finalement, nous arrivons à la villa. La voiture s'arrête doucement, et je la secoue doucement pour la réveiller, murmurant son nom.
— Najla, réveille toi, on est arrivés. murmuré-je en caressant doucement sa joue.
Elle ouvre lentement les yeux, clignant des paupières pour s'adapter à la lumière. Un mélange de confusion et de soulagement passe sur son visage.
Najla — Hmm.. , souffle-t-elle faiblement.
Je l'aide à sortir de la voiture, la soutenant pour qu'elle ne tombe pas. Ses jambes sont faibles, et elle s'appuie lourdement sur moi.
Nous faisons notre chemin vers la maison, Jamal ouvrant la porte en silence, son regard plein de compréhension et de compassion.
— Tu veux monter te reposer ? lui dis-je doucement.
Elle hoche la tête, visiblement épuisée. Je l'aide à se lever et nous montons lentement les escaliers jusqu'à sa chambre. En ouvrant la porte, je l'accompagne jusqu'à son lit comme pour la protéger du monde extérieur.
Najla — Merci, Faris, murmure-t-elle en s'allongeant.
Je m'apprête à quitter la pièce pour la laisser se reposer, mais sa voix me retient.
Najla — Faris, attends.
Je me retourne, surpris.
— Ouais ?
Najla — Reste avec moi, s'il te plaît. Je... je ne me sens pas en sécurité seule.
Son regard est rempli de vulnérabilité, et je ne peux pas refuser. Je hoche la tête et m'assieds sur le bord du lit.
— T'es sûr ?
Elle hoche la tête et me fait de la place, et je m'allonge à côté d'elle, essayant de laisser suffisamment d'espace pour qu'elle se sente à l'aise, comme à notre habitude.
