🇸🇦الحب كالقمر، يتألق في الظلام وينير الطريق
« Allah n'impose à aucune âme une charge supérieure à sa capacité. » S2;V286
Une existence marquée par la douleur, une existence où la souffrance est sans cesse présente, et un amour empreint de tourmen...
« Quand ton coeur comprend que tout est entre les mains d'Allah, il s'apaise. »
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Point de vue, Najla.
Nous étions encore à Annaba. Faris et moi avions décidé de sortir, profitant de la soirée pour oublier un peu les tensions des derniers jours.
Le soleil se couchait, peignant le ciel de teintes orangées. Nous roulions tranquillement, profitant de la brise douce de la nuit qui tombait.
Alors que nous approchions d'une intersection, mon regard fut attiré par une voiture derrière nous. Elle était là depuis un moment, suivant nos mouvements. Un frisson d'inquiétude me traversa.
— Faris, je crois qu'on est suivis, dis-je, la voix tremblante.
Faris — Quoi ?
Faris jeta un coup d'œil dans le rétroviseur, ses yeux se plissant de méfiance. Il comprit immédiatement la gravité de la situation.
— Qui c'est ? demandai-je, la peur grimpant en moi.
Faris jeta un coup d'œil dans le rétroviseur, ses yeux se plissant de méfiance. Il serra les dents avant de répondre, sa voix se faisant plus tendue.
Faris — Des types à qui je dois de l'argent depuis quelques années, finit-il par dire. Ils doivent être là pour ça.
Je sentis mon cœur s'emballer à ces mots. Les ramifications de ce qu'il venait de dire se dessinaient lentement dans mon esprit.
— Quelle somme ? demandai-je, ma voix à peine plus qu'un murmure, l'angoisse perçant dans chaque syllabe.
Faris inspira profondément, comme s'il cherchait le courage de répondre.
Faris — Beaucoup. Une somme énorme. C'est compliqué, murmura-t-il, ses yeux évitant les miens.
Mon esprit s'affolait, cherchant à comprendre l'ampleur de la situation.
Combien de problèmes nous avions encore à affronter ?
— Combien exactement, Faris ? insistai-je, essayant de garder mon calme malgré la terreur qui montait en moi.
Il serra le volant si fort que ses jointures blanchirent.
Faris— Suffisamment pour que ces types ne reculent devant rien, admit-il enfin, ses mots lourdement chargés de désespoir.
Mon cœur se serra à la pensée des dangers auxquels nous faisions face. Faris accéléra encore, le regard fixé sur la route devant nous, déterminé à nous sortir de cette situation.
Mon cœur s'emballa alors que Faris accéléra brusquement. La voiture derrière nous fit de même, engageant une course-poursuite effrénée.
Les rues d'Annaba défilaient à une vitesse vertigineuse, les lumières des réverbères se transformant en traînées lumineuses.
