Chapitre 40 : « Jusqu'à ce que l'amour les unis à jamais ! »

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Hâyat - « Destin enflammés, cœurs carbonisés.»

40 : « Jusqu'à ce que l'amour les unis à jamais ! »

Toute les robes venaient de Dubaï. J'étais comme une enfant face à des bonbons. Ils m'ont expliqués que c'est Farah qui a fait un séjour là bas, et à la demande de Hâlim qui lui a envoyé de quoi payer, elle devait prendre quatre robes qui « plairait » à n'importe qu'elle femme. J'en ai conclu, que tout ses robes ont coûté un bras.. j'ai pas osé posé d'autre question surtout que j'attendais d'être seul avec mon mari pour lui en parler. Quatre robes de mariée pour femme voilée, se trouvait en face de moi ; 

- Hâlim : Elles sont toute à toi.

- Je vais pas me marié quatre fois.. j'en choisi une et c'est bon.

- Hâlim : Fais comme tu veux.

Elles étaient toute belle, mais une en particulier m'as tapé à l'œil ; c'était un dos nu manche long, avec de la dentelle dans le dos. J'ai toujours aimé les choses simple et pour moi c'était celle là qui était la plus simple -quel robe de mariée est simple dirait-on.- Le voile était vraiment splendide est surtout que la longueur du voile me permettait de cacher mon dos.. c'était comme une traîne mais pas très long. J'ai pointé du doigt celle qui me plaisait le plus, et Farah l'as ouvert pour qu'on la vois bien. 

- Farah : Très bon choix, c'était ma préféré quand j'ai choisi.

- Elle est très belle.

- Hâlim : Tu la prends alors ?

- Oui..

- Farah : Et toi tu va mettre quoi Hâlim ?

- Hâlim : On est venu ici pour ça.

- Farah : Débarque pas en jogging, basket, casquette !

Dit-elle en riant.

- Hâlim : Je suis pas un clochard la grosse. Elle va choisir pour moi.

- Qui ? Moi ?

- Hâlim : Non, elle là bas, bah oui toi, tu vois une autre femme ici ?

- Farah : Et moi je suis une merde ?

- Hâlim : T'es un bonhomme toi, c'est pas pareille.. vous venez au mariage j'espère !

- Farah : Y a les petits ici, et puis vous habitez dans l'autre partie de la France, ze3ma (*genre) la capitale.. Karim va venir mais moi j'ai la tribu.

- Karim : On les emmène, le cousin il se marie on reste ici ? T'es folle toi !

- Farah : T'as un bus pour les mettre ?

- Karim : Je gère.

- Hâlim : Vous venez y a pas de détour ! Un cortège de malade vous attends là-bas.

- Farah : Ah oui, le prince de la cité se marie faut pas négliger.

- Hâlim : T'as tout compris. Sah (*Sérieusement) venez !

- Farah : Insha'Allah (*Si Dieu le veut )

Elle me donna la robe que j'avais choisi, le problème c'est la taille qu'il fallait voir ; mais d'après ce que m'as dit discrètement Farah, Hâlim était de mèche avec ma mère pour avoir ma taille. J'étais heureuse car mon mari avait pensé à tout, que ce soit le mariage, la robe, ou ma taille, il faisait preuve de tant de maturité et d'attention que je me sentais la femme la plus comblée au monde. On est sortie, pour aller dans un autre quartier, qui allait être notre lieu de résidence. C'était un appartement avec une seule chambre. J'ai attendu que Karim s'en aille pour lui poser mille et une questions : 

Chronique d'Hâyat - « Destin enflammés, cœurs carbonisés.»Où les histoires vivent. Découvrez maintenant