Soft Revenge Tome 1 ( EN RÉÉCRITURE)

chapitre 23

Claus est à l'entrée de la cuisine, habillé d'un costume noir, il est vêtue d'un pantalon noir de costume fait sur mesure et d'une chemise noire. Dont les manches son repliée jusqu'a les avant bras. En ce moment le nom qui lui ira à ravie est the black man , il a même enlevé sa si belle barbe de trois jours. Euh... Non sa si vilaine barbe. Il a complètement changé, son visage n'a plus d'expression, il est neutre. Claus est tellement intriguant, je me demande souvent comment il fait pour avoir cette double personnalité. Souvent, il sourit et est joyeux et après, il redevient le chef d'entreprise sans cœur, ingrat et insupportable.

- J'irai la chercher à son arrivée ! dit-il tout en nous jetant des regards noirs.

- Eh calme tes nerfs ! Votre tenue ?

- Elle a quoi m'a tenue ? Désolé, mais je ne peux pas monter me changer juste parce que monsieur reçoit sa fiancée !

- C'est vous qui voyez. Vous pouvez même... Non, s'il vous plaît dit moi qu'il ne va pas le dire, pas ça.

- Vous pouvez même vous trimbaler avec une serviette ça c'est votre problème. Du moment qu'elle ne coule pas sur votre peau comme une cascade. Je me sens rougie non pas, je n'ai pas envie de battre en retraite, pas maintenant.

- J'aime bien votre nouvelle couleur de peau, le rouge vous va à ravir.

- Bon ça suffit, tu vas chercher ta fiancée maintenant.

- Non, j'ai tout mon temps, tu sais.

- Moi, je n'en ai pas ! Allé, va chercher ta fiancée. J'aime bien quand nous jouons au chat et la souris, j'aime nos disputes, j'ai riposté et lui tenir tête, je ne peux arrêter de le provoquer. Pourquoi ? Eh bien, je ne sais pas pourquoi. J'arrive pas à le détester même si ces ce thé veux, je ne peux pas pour la simple raison que j'ai accepté de m'occuper de temps en temps de sa fille.

- Eh bien qu'est-ce que tu attends ? Vas-y, on fait pas attendre Hitler ! Lui dis - je.

- Ça c'est toi qui le dit, moi j'en ai rien à faire de Sylvie ,bon, j'y vais. Il se dirige vers la porte , j'ai une vu magnifique sur son derrière. Non... Non détourne ton regard de Claus. Eh, voilà, je viens de lui clouer le bec.

Oh non, je sens un regard persistant dans mon dos. J'avais complètement oublié Julia. Faites qu'elle ne me pose aucune question.

- Bon, je vais éviter d'envenimer les choses.

- Merci seigneur, pour ce miracle. T'es d'une bonté incroyable.

- Bon, on se fait un film en attendant notre couple.

Tout en rigolant nous émergeons vers le second salon. Ça va faire une heure qu'on regarde ce film, j'ai le ventre qui gargouille. Je meurs de faim alors ils peuvent au moins rentrer ces deux tourtereaux à la con.

ding ding

Moi et Julia avançons vers la porte d'entrée, je reste sans voix face au spectacle qui me fait face. Mais elle pensait à quoi en achetant cette robe, ça ce n'est pas être habillé. Je regarde Julia du coin de l'œil, elle se bat contre elle-même pour éviter de pouffer de rire. Sylvie porte une longue robe filet, ses parties essentielles sont à peine cachées. Elle porte en dessous un genre de costume de bain noir, elle en a des idées cette fille. Moi, je n'oserais jamais sortir avec ce genre de tenue de surcroît si j'étais fiancé.

- Bon, vous allez rester plantés-là, à m'observer ou jouer votre rôle de secrétaire et de gouvernante.

Claus l'aide à ranger ses affaires pendant que nous préparons la table à manger. Elle veut qu'on fasse notre travail et bien elle m'a bien cherché. Je lave les pommes que je mets de côté, elles joueront un rôle tellement spécial dans mon petit scénario. On est tous à table. Non, il manque la petite princesse qui fait je ne sais quoi en haut. Finalement, elle daigne venir à table.

À la fin du repas, je pars chercher mon panier à fruit pour ma scène finale. Je les fais circuler. J'en prends un et l'offre à Sylvie. Claus et Julia son choqué par mon geste, je vois Julia du coin de l'œil ouvrir sa bouche et l'a refermer plusieurs fois. Je sais ce que je fais juste observer la scène, mon père l'a toujours fait à ces femmes outrageusement décolletées.

- Non merci, je n'en veux pas, me dit elle, c'est très bien continu comme ça ma chère.

- Prenez-la, j'insiste...

- Mais pourquoi ? Puisque je t'ai dit, je n'en veux pas !

- Parce que c'est seulement en mangeant la pomme qu'Ève s'aperçut qu'elle était nue !

Du coin de l'œil je vois Julia qui combattait contre elle-même pour éviter de rire. Elle va riposter, j'en suis sûr. - Ha, vous croyez peut-être que j'ai le temps pour vos imbécillités inutiles, je suis plus religieuse que vous.

- ...je n'ai pas encore eu la joie de vous voir à la messe, pour confirmer vos diffamations.

- Ah non ! Mademoiselle, je n'y vais pas ! Les églises, c'est plein d'hypocrites inutiles comme vous.

J'aime bien notre petite guerre, on verra qui sera le vainqueur.

-Oh, vous savez, Sylvie il y a toujours de la place pour une personne de votre genre. Et puis quoi je ne vais pas lui permettre de mettre en doute la religion.

J'attends sa réponse tout en soutenant son regard elle se croit trop maligne cette fille a papa. Je suis plus maligne qu'elle . Non qu'elle redescend de son nuage ça ne ce fait pas de se promener en ville en souvetement meme si d'autre le font elle n'est pas les autres chacun a sa manière d'etre.

Je m'attendais à une réponse, mais non madame décide de me répondre d'une autre manière pas à ce qu'elle se jette sur claus pour lui bouffer les lèvres.

-Chéri, je crois qu'on devrait monter et laisser, ces deux inutiles.

-Monte-je te rejoins très vite, elle sort de table tout se déhanchant comme une limace. Je crois que je vais vivre un sale quart d'heure vue le regarde de claus. Je ferme les yeux en attendant son sermon sur le respect de sa future femme et tous ces tralalas.

Mais au lieu de ça, il pouffe de rire et Julie le suit dans son fou rire.

-Mais t'es complètement taré tu viens de lui faire un cours de religion moi qui croyais que ce dîner sera un enfer il a plutôt été le meilleur dîner au quelle j'ai assisté.

Je fais un petit sourire gêné .

-Vous devriez monter, on ne fait pas attendre Hitler girl

-Leurs rirent est devenue plus fou.

-Alex tu vas la fermer

-Bon d'accord Julia maintenant, il est temps du repos, on a peut-être une dure journée demain .

-Ta sûrement raison plus que c'est moi qui vais me plaindre de douleurs pour fuir cette pouffiasse.

-On devrait arrêter les gros mots Julia, ça va nous eviter d'entendre « des putain papa t'a vu »

- Alex au lit maintenant sinon tu vas faire mourir notre très chère julia de rire.

Après ce petit échange chacun va dans sa petite tanière même si c'est un palace bien équipé.

Je prends mon téléphone et appel Ariane pour lui souhaiter bonne nuit. Je le fais à chaque fois que je suis loin d'elle ça nous rapproche de plus en plus. J'ai élevé Ariane au rang de reines et elle en a fait de même pour moi. C'est ça la vraie amitié, je n'aimerais jamais perdre cette dernière lueur d'espoir qu'elle m'apporte, je ne veux pas qu'elle m'abandonne.

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Merci à ceux qui suivent mon histoire j'espère qu'elle vous plaît. Bisous 😘😘

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