Soft Revenge Tome 1 ( EN RÉÉCRITURE)

chapitre 51

point de vue de claus

   Mes yeux s'ouvrir petit à petit me laissant entrevoir une grande pièce un peu sombre. Cette pièce ressemble plus a un grand entrepôt aux décoration d'un garage mais sans auto mobile.  J'ai un de ces maux de tête. Une partition de piano envahissait toute la pièce, je la reconnaîtrais entre mille cette partition, c'étais River flow in you d'YIRUMA. j'essaie de prendre ma tête entre les mains à cause de mon mal, mais je m'aperçois que j'ai les mains et les chevilles menotté, je tire dessus comme pour me libérer, mais ça me fait un effet contraire a mes attentes. Une douleur s'empare de mes poignets, mais je continue de me remuer dans tous les sens. Espérant me libéré.

- Arrêtes-tu te ferras mal !

- Qui est ce ? Dis-je en regardant au tour de moi, mais je ne vois personne.

- As-tu déjà oublié l'intonation de ma voie Claus ?

- Sylvie....

- Bravo tu sais ça me va droit au cœur, tu ne m'as pas oublié.

- Pourquoi devrais-je t'oublier ?

- Peut-être parce que ta eu un nouveau jouer !

- Sylvie, je n'ai jamais joué avec toi, on était tous les deux dans une cage tenu d'un contrat alors pourquoi dire que j'ai joué alors qu'on étaient tout les deux des pions du jeu ?

- Moi non toi si t'étais un pion   

  - Qu'est-ce que je fais ici, j'ai fait tout ce que vous m'avez demander, mais................

- Non Claus !

- Tante Megan

- Épargne moi tes liens familiers en réalité, c'était une manière de te fait retourné au passer et te montrer à quel point tu as fait du mal. Tu n'es rien d'autre qu'un assassin Wilson, tu ne mérites même pas de vivre, car tu n'es pas digne du souffle qui t'anime. Tu.........

- Arrête s'il te plaît, je n'ai tué personne, c'est un mensonge je ....., n'est absolument rien fait de tout ce que tu crois.

- D'abord ta mère cette pauvre femme qui a porté le démon que tu es je me demande bien comment tu la tuer étais tu saoules jusqu'au point d'en arriver là.......

- Arrêtes-tu mens je n'ai absolument rien fait a ma mère ! Criais-je en me débattant pour me libérer, arrête s'il te plaît, je n'ai jamais touché ma mère, c'est plutôt quelqu'un d'autre moi, j'ai juste découvert le corps........... Alors arrête de m'accuser.

- Dit le lui regarde à ta droite et répète cette même phrase à l'homme qui t'a protéger après cette enfance malheureuse, que tu as d'après toi vécu.

Je tourne ma tête en direction de la grande porte similaire a celle d'un garage qui commence à s'ouvrir laissant un apparaître un caled assis dans une salle bleu carrelé qui a l'aspect d'un vivarium. Menotté a sa chaise avec les lèvres pété qui laissait échapper du sang et un visage un peu déformé. Une larme m'échappe. Je ne sais pas quoi dire, il est complètement détruit et je ne peux rien y faire.

- Aller dit le lui.   

  - J'ai rien fait Megan, rien du tout

- Et mon frère comment il est mort

- J'en sais rien s'il te plaît, je ne sais rien du tout dis-je la vois briser et le visage qui s'humidifie au fur a mesure ces paroles me blesse comment peut elle penser que j'ai pu fait du mal a ma famille. Les policiers connaissent toute l'histoire pourquoi ne demande t'elle pas a ces policiers.