Chapitre 48

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  Point de vue de Claus

Je suis en voiture depuis cinq heures du matin cherchant à comprendre comment puis-je faire pour entrer dans ces maisons qui peuvent se joué de mon morale psychologique. Ces quatre maisons ou j'ai plusieurs fois pleurer suppliant Dieu de venir nous aider a sorti des griffes de la fauve. La première maison me rappelle la mort de ma mère la seconde me rappelle un mariage qui m'a payer un ticket pour l'enfer. Je pourrais entrer dans la première maison de mon père avec un vide au cœur, mais je peux  le faire, car maman est, était et sera toujours la reine de mon Coeur. C'est difficile de grandir sans mère et mon père ne pouvait nous éduquer tout seule. Alors la première maison, j'y rentrerai seulement pour Alex ça sera difficile surtout quand les images referont surface pour me montrer des scènes indésirables. Mais les trois autres, j'ai bien réfléchi et j'ai décidé de ne pas y rentrer. Mais Caled m'a donné une idée au cas où ces idiotes nous observe.  

  - Claus nous sommes presque arrivé prépare toi mon garçon et n'oublie pas nous sommes la derrière toi.

- Je sais Caled, je sais. Je lui fais un petit sourire malgré la peur qui m'envahit et qui me noue l'estomac. J'ai réuni tous mes hommes parmi eux y a des gens avec qui j'ai débuté l'école militaire.
J'étais très jeune quand j'y suis allé pour me reprendre. C'était après la mort des membres de ma famille, j'avais onze ans quand j'ai perdu définitivement goût à la vie et que je n'avais pas envie de parler, je me contentais juste de répondre avec des oui de la tête. Quand je suis sortie de la, j'avais quinze ans et c'est moi qui est voulu arrêter. Après ça, je me suis concentré trois ans à étudier le monde de la construction afin de relever la pente de la famille Wilson. J'ai commencé à travailler à dix-huit ans. Cela n'a pas plus à ma tante, c'était comme lui enlevé le pourvoir et la couronne de l'empire Wilson construction. Elle l'a pris comme une trahison, car pour elle, j'étais trop jeune. Mais elle m'a pardonné et a accepter de vivre celon les compte que je lui avais ouvert et rempli d'argent. Mais malgré tout mes efforts elle  continue de me détester.  

  - Claus nous y sommes ! Je tourne ma tête vers la maison au bout de la rue. Elle est restée intacte la peinture n'est pas égratigné ou encore plein de moisissure. C'est juste les herbes du jardin aux alentours qui on pousser de trop, je sais quel sont tous ainsi.

- On y va dis-je en descendant en premier, c'est la première fois depuis dix-neuf ans que je reviens ici. Nous nous dirigeons vers la porte en marbre d'une couleur blanche. Je pose ma main sur la poignet de celle-ci sans pourvoir l'ouvrir. J'ai le cœur et la tête qui tourne, je ne sais pas ce qui m'attend derrière cette porte. Je regarde à ma gauche ou se trouve Caled et quatre autres de mes hommes en position d'attaque au cas où et a ma droite c'est le même manège avec a la tête Lewis. Caled me fait signe de la tête m'incitant à ouvrir la porte. J'aspire et j'espire avant de tourner la poignet d'un geste délicat et lent. L'entrée est restée la même, une maison simple au mure blanc comme les nuages. Quand mes pieds franchis le pas de la porte, j'ai la nostalgie et un flash-back de ma mère qui défile dans ma tête. Elles ont dessiner des flèche sur le sol avec des roses blanches afin de nous indiqué sûrement le chemin a suivre. Mais je n'emprunte pas. Je me dirige vers le petit salon plein de poussière et les meubles couvert de drap blanc afin de les protéger de la poussière en ce moment suis dirigé par mon passé. Je m'approche du petit salon comme un saut dans le passer mon imagination me jour des tours, car je vois ma mère assise sur mon petit divan un livre a la main en train de me lire mon histoire préféré. Je riais quand je l'ai vue imiter la voix d'un des personnages, nos rires remplissait la salle. Une joie partagée de tout cœur. Maman ce lève et commence a courir, pris par le temps je me lance a sa poursuite afin de la revoir encore je sais que ce n'est qu'imaginaire mais combien de personnes payeront pour voir une personne qui leur ai très chère avant de retournera à la réalité. Je cour derrière maman qui part ce réfugier dans la chambre rose bonbon, quand j'arrive finalement au pas de la porte je me vois crié pleurant, la première scène qui ma fait perdre pied, la première scène qui a tout bouleversé. Je vois maman coucher sur ce petit lit blanc dans une mare de sang tenant a la mains une rose rouge. La dernière fois ou j'ai vu maman était dans ce cadre-là. Je me regardais crier le nom de ma mère, mais cris on haleter ma petite frimousse, ma moitié était près de moi en larme criant. Je ne peux oublier son regard larmoyant et plein de tristesse avant qu'elle ne tombe évanouie et moi...........  

Soft Revenge Tome 1 ( EN RÉÉCRITURE)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant