Année seize cent quatre-vingt-cinq : On se pose moulte questions à propos de la famille royale de France au XVII ème siècle.
Les membres de cette grande famille , oh combien enviée , qui ne laissent paraître que ce que les gens ont besoin de voir.
C...
J'ai vraiment hâte d'y être. La semaine s'annonce bien mouvementée.
Le château s'est vidé. La plupart des convives sont retourné à Versailles. Mis à part les enfants bourbons et quelques courtisans...
Actuellement , je suis dans la salle à manger conviviale , en compagnie de mes amis.
- Où est Victor ? Demandai-je à Nicolas - Il se sentait fatigué. Il est parti se coucher. - Oh. Il m'a semblé distrait tout au long de la journée. Remarquai-je - C'est le cas. Il est constamment plongé dans ses songes. - Je vous avoue que je le trouve d'humeur lunatique ces derniers temps. Fis-je discrètement - Je sais assez bien que Victor a un caractère versatile. - Mais il me semble absent quand je lui parle. Je commence à m'inquiéter. - Il est préoccupé par diverses affaires en ce moment. Mais vous n'y êtes pour rien. M'assure Nicolas - Puis-je en connaître la raison ? - C'est à cause de ses obligations en Italie. Son père veut le voir rentrer dans les plus brefs délais. - Mon pauvre Victor , il n'a aucun moment de répit. Susurrai-je soucieuse - Croyez moi qu'il aimerait beaucoup rester ici à vos côtés. Mais le devoir l'appelle. - Je le sais. Je ne peux pas lui en vouloir pour cela...
Quelques instants plus tard. Je viens de finir de souper. Je vais ôter ma parure dans ma chambre.
Et puis , je sors. Je souhaite passer un moment avec père.
Je marche calmement jusqu'à ses appartements.
J'entre sans frapper. Je trouve sans surprise , plusieurs hommes en compagnie de mon père.
Il y'a une quantité vertigineuse de vapeurs émise de ses appartements.
- Dehors. Ordonnai-je
Les jeunes garçons se lèvent , et s'en vont. Hormis le chevalier qui reste assis , tout en me regardant de haut en bas.
Rien d'étonnant , étant donné que je ne porte qu'une légère tunique accompagnée d'un châle brodé.
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J'ignore le chevalier , et pars m'installer sur un fauteuil.
Père , une coupe d'alcool à la main , et un cigar entre les lèvres , soupire. Laissant échapper de sa bouche de la fumée.
- As-tu transformé tes quartiers en fumoir à tabac ? - Je profite des plaisirs de la vie. Ne me le reproches pas. Répond père en haussant les épaules - Je supporte mal cette fumée. Elle me donne la nausée , et provoque en moi d'affreuses migraines. Déclarai-je - As-tu fini de préparer ton départ ? Demande père d'un air détendu - Oui. Affirmai-je - Fort bien. Occupes toi bien de ta soeur quand tu y seras. - Cela va de soi. - Le prince semble avoir perdu patience. - Je me fiche du prince et de sa patience. Mon but n'est pas de le satisfaire. - Te rends tu compte que tu parles d'un invité royal ? Me dit le chevalier - Je vais là bas pour passer des vacances et m'éloigner de l'agitation de la cour. Pas pour faire plaisir à Édouard. - Des tats de gens tueraient pour vivre dans les mêmes conditions que toi. Me rappelle père - J'en ai assez de toute cette oppression dominante qui se trouve à la cour. - Le rythme de la cour ne semble pas seoir à tout le monde. Se moque le chevalier - Gardez vos commentaires cyniques pour vous. Lui dis-je sèchement - Ne fais pas attention à lui. Il est ivre... Me dit père - Il n'a pas besoin d'alcool pour dire des absurdités. Affirmai-je - Ma chérie , ne mets plus cette tunique. Elle te grossit. Me conseille père
