Année seize cent quatre-vingt-cinq : On se pose moulte questions à propos de la famille royale de France au XVII ème siècle.
Les membres de cette grande famille , oh combien enviée , qui ne laissent paraître que ce que les gens ont besoin de voir.
C...
Je pars me laver dans ma salle d'eau avant notre départ pour Versailles.
Après cela , je pars enfiler une robe rouge écarlate.
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Elle sierra bien pour une entrée à la cour. Même si mon visage est familier pour la plupart des nobles.
Je convie ensuite mes servantes pour qu'elles se chargent de ma coiffe. Elles me font un chignon haut , avec quelques mèches qui dépassent de ma tête.
Après cela , je me fais maquiller par des demoiselles qui en sont chargées. Mon maquillage est assez discret. Juste ce qui est nécessaire pour mettre ma beauté en valeur.
Je tiens particulièrement à ne pas paraitre trop maquillée. Je n'aime pas l'aspect grossier et vulgaire que donne un maquillage excessif.
Elle me mirent ensuite quelques bijoux.
Après avoir achevé mon maquillage , elles diffusèrent sur mon cou un parfum que m'a offert mon oncle quelques mois auparavant. Il a une odeur très agréable de jasmin et de violette. Et je pense que cela lui fera plaisir que j'en mette à sa réception.
Le roi est très attentif aux attentions de chacun. Il n'oublie rien.
Une fois que j'eus fini d'être préparée , je fis appeler Alexandra dans mes appartements. Cette dernière arriva un moment après.
Elle était très en beauté. Elle portait une robe blanche et dorée qui avait l'air éclatante sur elle.
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- Alexandra , tu es magnifique. - Émilie , tu vas me faire rougir ! En plus , tu es bien plus jolie que moi. - Rentres donc et cesse de dire des bêtises. Riai-je
Elle entra dans ma chambre.
- Dis moi Alexandra , que s'est-il passé tout à l'heure quand nous nous sommes séparés ? - Nous avons continué à courir Antoine et moi , sans même regarder si le chevalier nous suivait. Quand nous nous sommes rendus compte qu'il n'était pas derrière nous , nous nous sommes mis à rire comme deux affreux bambins ! Me raconte Alexandra en riant - Je pense que ce crétin n'a pas dû nous distinguer. - Que s'est-il passé après cela ? Demanda Alexandra - Je courais tellement vite que je ne voyais pas où je marchais. Du coup j'ai fini par percuter accidentellement mon père qui passait par là bas. - Tu as eu de la chance de tomber sur lui. - Oui. À propos , cela doit te réjouir qu'Antoine et sa famille soient aussi invités ! Lui dis-je avec des sous entendus - Mais que vas tu donc chercher ?!
