Je ne réalise pas à quel point mes paroles peuvent le provoquer, simultanément pour saisir mes genoux et me poser sur son bureau. Je glousse en réalisant ce que je viens de lui demander, et cette sensation enclenche en moi un fou désir de sexe comme cela aurait pu me manquer.
Apparemment avoir une sexualité active pour une femme est bénéfique dans l'épanouissement. Il m'embrasse sauvagement temps que je continue de tirer ses cheveux, en soufflant il s'attaque de nouveau à mon cou et je saisis sa nuque en souriant. Ses mains n'hésitent pas à soulever le fin tissu de ma robe tout en caressant la peau de mes cuisses de façon appliquée. Il semble mener les choses à la perfection et je rêverais de le voir cuisiner un jour et il y a quatre-vingts dix-neuf pourcent de chances pour que ça arrive.
L'une de mes mains décident de saisir son tee-shirt pour lui imposer de l'enlever sur le champ et c'est ce qu'il fait. Je retrouve ses jolis tatouages et je les persiste beaucoup mieux avec de la lumière, un papillon sur l'abdomen ? C'est original...
Il enroule ma taille de ses bras et me penche en arrière pour m'embrasser plus facilement, j'ai cet instinct de plier mes jambes contre ses anches lorsqu'il tire sauvagement mes cheveux pour s'attaquer à ma clavicule, descendant peu à peu à ma poitrine presque exposé.
J'enroule mes bras à son cou, soupirant de bien-être. Il se sert de ses dents pour écarter le tissu et y révéler mon sein droit qu'il mordille de son plein gré. Et je commence à me perdre moi-même dans un néant de plaisir que j'appréhende.
Le faire ici dans son bureau rend la chose plus excitante et je ne saurais imaginer mieux autre part, du moins je n'en ai pas la moindre idée.
Je sens sa bosse se frotter contre moi, les barrières de vêtements commencent à m'énerver, entre temps je dégage mes mains pour commencer à tirer sur son jogging mais il me pousse brutalement contre son bureau, il se penche au dessus de moi, m'embrassant encore et je ressens ses doigts à la poursuite de ma culotte, mordillant ma lèvres je sens le contacte sur moi et je deviens folle pour si peu.
Il glisse enfin le sous-vêtement contre mes jambes et je réalise à quel point ce simple geste peu avoir un effet sur moi, mais je gémis déjà quand il s'interpose entre mes jambes de façon précipité. Il enveloppe ma bouche dans une série de baiser chauds et goûteux, emportant mes mains sur son dos et je commence à en vouloir plus lorsqu'il se frotte encore contre moi.
Je me sert du talon de ma chaussure pour baisser son jogging en moins de deux et le talon sur sa peau le fit frémir, ricanant légèrement il fini de se débarrasser de ses vêtements.
Il entre en moi sans me prévenir et je réagis en faisant un faux mouvement pour laisser un tas de dossiers tomber au sol. En gémissant je me sens coupable...
- Je suis désolé.Je souffle.
- C'est rien.
Il décide de me plaquer d'autant plus sur le bureau, serrant bien mes cuisses et je ne demande qu'à en avoir plus. En décidant de lever une main pour serrer le rebord du bureau comme appui il fit maintenant tomber un pot de crayon et c'est ce qui me fait rire, lui aussi.
Je guide mes lèvres aux siennes comme prétexte pour enfouir mes mains dans ses cheveux, ils sont doux et léger. Habituellement, j'aime admirer les cheveux de mes sœurs et copines mais les cheveux d'un homme ne m'ont jamais autant captivés.
Il embrasse mon cou en continuant son mouvement de hanches et je ferme les yeux pour apprécier le plaisir, cela m'impose de crier haut et fort. Sans tout à fait prendre compte de ce que je dis.
Quelques instants après c'est maintenant lui qui commence à gémir de son coté et l'entendre dans mon oreille me fait plaisir, pour griffer son dos et mordre son épaule. Sa main lâche ma cuisse et s'interpose dans ma robe pour peloter ma poitrine librement.
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Delicious pleasure(1&2)H.S (mâture)
FanfictionThe first Delicious Pleasure Etre artiste signifie beaucoup de choses, avoir une bonne créativité et être suffisamment inspiré. Qu'arrive t-il au moment où nous ne sommes plus inspirés ? Est-ce qu'il faut rester ici à se tourner les pouces, à attend...