Things I can't [L.S]

EPILOGUE

Harry: Louis. Souffla T'il, n'en croyant pas ses yeux. Il dut tendre la main et s'accrocher à la poignée de la porte pour se maintenir car cela était la dernière chose à laquelle il s'attendait.

Harry se rendit compte qu'il retenait toujours sa respiration. Il ne pouvait pas lâcher Louis du regard, ses yeux bleus brillants plus que jamais, son visage parfait et magnifique, sa façon mignonne de s'habiller toujours intacte. Le cœur de Harry fit un petit saut dans sa poitrine et il se sentit nerveux. Il trembla un peu lorsqu'il ouvrit la bouche pour parler :

Harry: Q-que fais-t-tu... Il s'arrêta en bégayant. Louis. Dit-il encore, incapable de dire autre chose car d'autres mots sortiraient en une pagaille incohérente.

Louis parla alors, sa voix sonnant un peu éraillée.

Louis: Salut. Je... Est-ce que je suis venu pour rien ?

Harry le regarda d'un air ahuri pendant un long moment, puis les yeux de Louis passèrent sur Léo, dont il avait oublié la présence. La bouche de Harry forma un « o », puis il essaya de parler, mais Léo le devança.

Léo: Oh, tu parles de moi ! Dit-il en souriant. Non, mec. Nan, je suis hétéro. Ma copine est en bas dans la voiture. J'empruntais juste des notes. Il souleva le cahier que Harry lui avait donné. J'y allais. Merci, Harry, à lundi et hey, sourit Il en passant devant Louis et en lui donnant une petite tape sur l'épaule, ravi de te rencontrer. A plus.

Harry l'observa partir, puis regarda Louis. Son visage était un peu pale et il avait l'air fatigué, mais il était toujours le beau garçon que Harry avait quitté en Angleterre. Il le regardait à présent, son expression illisible.

Harry: Tu veux entrer ? Dit Il, parce qu'il ne savait pas quoi dire d'autre.

C'était étrange. Ils s'étaient vus il y avait moins de six mois et ils s'étaient parlé une fois ou deux, mais Harry était maintenant nerveux avec Louis se tenant devant lui, ses yeux bloqués sur lui, le brûlant.

Louis: Euh, ouais. Bien sûr.

Harry recula et laissa Louis entrer, reconnaissant d'avoir fait du rangement la veille. Louis jeta un coup d'œil à l'appartement tandis qu'il suivait Harry dans le petit lieu de vie.

Louis: C'est très toi.
Harry: C'est une bonne ou une mauvaise chose ? Plaisanta T'il.

Louis: Bonne. Définitivement bonne.

Harry sourit tandis qu'il marchait dans la petite cuisine.

Harry: Tu veux quelque chose ?Enfin... Tu viens juste d'arriver ?

Louis: Euh, il y a environ une heure.
Harry: Tu as faim ? Soif ? Les deux ?

Louis: Les deux. Sourit Il, et le cœur de Harry sauta un peu. Mais on peut parler avant ?

Harry arrêta de bouger et regarda simplement Louis.

Harry: Ouais. On peut faire ce que tu veux.

Louis lui tendit la main et Harry la regarda.

Louis: Si tu ne veux pas me toucher, c'est pas grave. Je comprendrai.

Harry ne réfléchit pas deux fois, il attrapa simplement la main de Louis et le tira vers lui en passant ses bras autour de lui. Il entendit Louis soupirer un peu contre son corps, ses bras entourant Harry aussi. Le jeune homme respira son odeur, se réconfortant avec, parce que Dieu, elle lui avait vraiment manqué.

Harry: Mon Dieu, tu m'as tellement manqué. Souffla T'il en resserrant son étreinte.

Louis: Moi aussi.
Ils se lâchèrent enfin, doucement, et lorsque Harry regarda Louis, il vit que son visage était tordu, comme s'il essayait de ne pas pleurer.

Harry: Hum. Il se racla la gorge. Tu voulais parler.

Louis fit oui de la tête. Harry lui fit signe de le suivre sur le canapé. Ils s'assirent l'un à côté de l'autre, mais sans se toucher.

Louis: Okay. Avant qu'on dise autre chose, j'ai juste besoin de savoir. Tu m'aimes toujours ?

Harry répondit immédiatement.

Harry: Evidemment, je t'aime toujours. Je n'arrêterai jamais.

Louis: Okay. Dit Il en acquiesçant comme s'il essayait de tout ranger dans sa tête. D'accord, bien. Je t'aime aussi, au fait.

Harry acquiesça, ignorant les papillons dans son estomac.

Louis: D'accord, donc, j'ai parlé à mon père il y a un moment et en gros il me veut hors de sa vie. Il m'achète carrément.

Harry: c'est horrible.

Louis: Non, tu vois, c'est ce que je pensais au début, mais non. Enfin, je suppose que ce soit horrible dans un sens, mais après y avoir pensé, j'ai compris que ce n'est pas si mal. Je veux dire, j'ai le dessus.