CHAPITRE 54

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Depuis huit heure Thomas est assit sûr son bureau et fini d'écrire son article qu'il devait rendre le jour même. Il avait énormément de travaille à rattrapé après ses quelques semaines de congés pour son déménagement. Minho n'avait pas pu faire de même le manque d'effectif dans la police étant trop grand. 

Le brun n'a même pas pu envoyé de message à son blond pour prendre des nouvelles. 

Il est maintenant seize heure et Thomas peut enfin arrêter de travailler comme un malade. Maintenant, il peut enfin un peu parler à Newt. 

Au fond de lui, il n'a jamais ressenti ça. Il a déjà aimé. Il a a déjà aimé à en crevé. Mais, jamais de cette manière. Pas de cette façon. Pas si brutalement. Pas si réalistement. Il était simplement curieux. Ses voisins était étrange au premier abord. Peux être même froid. Mais, au fond, il est pareil. Il est vantard, surement aussi vaniteux et narcissique. Il a un peu la façade du beau garçon hautain qui a tout réussi dans la vie. Et ce constat est tellement triste. Faux, aussi. Enfin, seulement pour la parti où il a tout réussi dans la vie. Quand Teresa a voulu être amie avec ses voisins, il avait été heureux, même si il ne l'avait pas montré. La brune est une princesse. Teresa est quelqu'un qui obtient tout ce qui veut beaucoup de chose. Et elle l'obtient. Sauf une fois. Une seule petite fois. Pourtant c'était rien comparé à ses demandes de d'habitude. C'était absolument rien et elle aurait absolument tout échangé contre cette chose. 

Elle voulait juste que le traitement contre la maladie de Graves-Basedow marche. 

Est-ce que c'était trop demandé? Apparemment. 

Et Teresa n'avait plus jamais rien demandé. Jusqu'à là. C'était bizarre comme demande. Inattendu aussi. Surement stupide. Mais, au combien joyeux. 

Thomas soupire en se frottant les yeux. Il manque vraiment de sommeil. Mais, il ne peux pas se prendre le luxe de dormir alors que Newt est peux être malade par sa faute. 

Minho lui a répété toute la soirée que ce n'était pas sa faute. Il avait rit. Un rire amère et sans vie. Son meilleur ami n'avait pas le droit de lui dire alors que Teresa et lui lui répété la même chose depuis un an. Il faut dire que depuis la mort de Chuck, ils avaient tous changés. Minho particulièrement. 

L'asiatique n'était pas aussi proche de Chuck que l'était Thomas ou Teresa. Chuck n'était pas le meilleur ami de Minho. On est proche de son meilleur ami, on rit avec lui, on est complètement dingue, aussi. Mais, avec un frère, c'est différent. C'est de la protection, de l'affectons à distance, des disputes, aussi. Et c'était plus cette relation qu'avait les deux. 

L'énorme joie de vivre de Minho avait alors disparu. On ne se remet jamais de ce genre d'événement. Qu'importe le nombre de personne qui vous dise que ça va allez, que c'était soit disant parce que Dieu à voulu prendre la plus jolie fleure qu'il a vu ou encore qu'avec le temps, tout fini par s'arranger. C'est faux. La plaie est toujours ouverte. Il y a seulement un pansement dessus. 

Newt: Au faite! Mon nouvelle infirmier est arriver... Je l'aime pas. 

Tommy: Pourquoi? C'est un grand méchant loup?

Newt: Oui! Il me mes des post-it partout! "Les règles sont faîte pour etre respecté", "Soit jamais en retard"... 

Tommy: Tu m'as menti sur ton âge pour être traité ainsi? 

Newt: Même pas! Je vais l'égorger! 

Tommy: Je serai ton alibi dans ce cas.

Newt: J'espère bien!

-Thomas! 

Le brun relève la tête de son portable et sourit à Frypan, son collègue.

-Qu'est-ce qu'il y a Fry'? 

"The Bubble Child" - NEWTMASOù les histoires vivent. Découvrez maintenant