Je l'aime et ce n'est pas un jeu.
Dire que cette scène n'est pas un voeux
C'est pire que dire : "je ne sais pas ce que je veux..."
La vérité devient paradoxale.
A force de trop osciller entre le bien et le mal
On se rend compte qu'une addition des deux est bien normale.
A force d'accuser les coups,
On se sent usé, éculé, encu... laid jusqu'au cou.
A force de m'accuser j'ai accusé les autres à tort,
Mes lèvres je les tords pour arriver à m'excuser.
Mais peu le font, tant pis je fonce,
Je renonce, j'ai trop essayé,
Mais c'est dur de courir sans se retourner.
A force de forcer je n'aurai plus de force,
La situation se corse, et mes pensées déboussolées sont délaissées.
Esseulé je panse un amour qu'on a laissé
Mais je pense à un amour qui s'est lassé.
Pendant que je pense mon coeur est lésé.
La solution est-elle de partir ?
Je n'arrive pas à voir l'avenir;
De toute façon je n'ai jamais su le capter puis le retenir.
Je n'ai jamais réservé de triste sort
Pourtant je suis resté triste c'est sur
J'ai énoncé mes peines mais t'étais sûrement sourde.
La suture se dessert et je sors,
L'asphyxie se finit,
Tu te sers de tes sors,
Mais il n'y aura plus rien à faire
Quand ton aura va se défaire.
Le défit c'est le dilemme... mais je le dis plus,
Par ma plume je le dis "l'aime",
Comme au début de ce poème,
Ou est-ce l'âme du poète ?
Dans mon slam je fais des pirouettes,
Mon coeur fait des pirouettes,
Mon cerveau fait des pirouettes,
Mon foie, mes os ainsi que mes cacahuètes :
Bref c'est une heure avec dame prise de tête.
Je ne sais pas si je vais retomber sur mes pieds,
Ou me casser la tête.
Je m'entête à repenser à l'amitié...
Elle m'a cassé les pieds mais ça m'embête !
Tant pis, on est pas tous gentils !
On verra si la balance se rétablie.
Je sais, pas de justice pas de paix
Mais dans "amour" y a pas de P...
Je le savais :
"La lutte est comme un cercle: elle peut commencer à n'importe quel point,
Mais ne se finit jamais"
L'amour est une lutte et je tourne sans point de côté.
Je t'aime,
Un peu, un peu plus,
Trop peu, je ne sais plus,
Adieu, j'en peu plus!
A qui je m'adresse ?
A dieu ?
C'est odieux,
Sans adresse...
Je me sens reclus.
Je ne trouverai pas refuge dans l'ivresse
Mais dans les livres où je verse
L'encre et mes pleurs,
Où je largue l'ancre de ma douleur...
Quand le poids des maux devient léger
Et que le papier supporte le poids des mots sans lâcher.
Mon esprit part vagabonder
Et reviens à cette soirée
Où un simple contact m'a fait tremblé,
Mon coeur rebondissait,
Il y avait comme une chaleur gelée
Mais nos regards se confondaient puis crépitaient.
Sans sourires précipités je t'ai fait deviné,
Sans le préméditer, que je t'aimais.
Le passé n'est qu'une diversion,
Je ne t'ai pas oublié, il suffit d'écouter...mes divers, sons/...
/démos, qui en réalité sont des mots muets.
C'est compliqué d'en parler,
Même si à la base c'est pour ça qu'ils sont écrits :
Éviter de pleurer, frapper, pousser des cris...
J'ai repêché un amour jeté le 3 avril : une date clef!
J'ai lu qu'il était "fort..." et je l'ai adopté,
J'aurai du lire la suite, c'était "... déconseillé".
Comment te rendre heureuse? Maintenant je le sais...
Me taire va avec partir et je le fais;
Tu dis : "LE SILENCE ! Et DORS !" mais t'es resté dans le coma,
J'ai essayé de te réveiller par des baisés
Mais c'est comme à... la rupture :
T'avais tout oublié...
Comme un prince déchu et déçu je pars... dans le noir, chercher une princesse,
Je voulais que cesse cette tristesse mais c'est trop tard,
J'agis dans le stress pour sortir du cauchemar;
Je ne voulais pas rester froid et pensif,
Impassible, un passif.
Au revoir définitif... mais maladroit...
Pour une définie comme maladroite, qui mal à droit.