•Chapitre 62•

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- Au tout début hein... Quoi, dans la cave à vin ?

Zoro s'allonge, suivit rapidement, pour ne pas dire en simultanément, de Robin. Leur regard cohabitaient dans se croiser, occupés à regarder ce ciel de terre.

- Non... Bien avant ça...

~~~

- Avant ça... Il n'y a rien eu pourtant. S'exclame l'épéiste, peu convaincu de ses propres mots.

- Je serais vexée si tu ne t'en souviens pas Roronoa.

- Je t'aurai bien demandé de me remémorer les événements, mais je suppose que ça ne conviendra pas aux règles, n'est-ce pas ? Reprend-il en riant.

Son œil se perdit sur le profil de Robin qui laissait quelques traces de son sourire délicat.

- Ça aurait été avec plaisir mais tu devrais garder cette idée pour lorsque tu aura gagner tu ne crois pas ?

Leur doux rires résonnent à peine dans cette partie de la pièce. Zoro s'allonge plus aisément avant de reprendre;

- Donc... Le jour où je me suis réveiller nu à côté de toi, qui l'était aussi, ce n'était pas un malentendu ?

- Un malentendu...

- Je te taquine. Continue le bel homme pensif avec plus de sérieux.

Sentant qu'elle prenait mal cette blague d'amnésie, il préféra mettre les choses au clair à propos de ce soir là. Fixant le plafond à nouveau pour y trouver un refuge oculaire, il poursuit calmement, les bras derrière son crâne vert.

- Je n'oublierais pas ce moment là... C'était la première fois que... Qu'on était devenu plus intime.

Elle gémit son amusement en le regardant rapidement du coin de l'œil. Robin fixe aussi le plafond, écoutant la suite de son aparté.

- J'avais plus bu que d'habitude. Je marchais vers ma cabine lorsque j'ai vu ta porte entrouverte. Je ne suis pas un pervers. J'ai juste imaginé ce qui me faisait plaisir pour être honnête. Je n'allais pas entrée dans ta chambre surtout que je pensais que tu dormais, j'en étais même convaincu, il était tard. Après ça, j'ai un souvenir de toi, en sous-vêtements devant moi. Et enfin, la partie la plus intéressante de l'histoire.

- Tu te souviens des détails de notre... disons "énorme câlin". Demande la belle femme.

Il rit comme elle avant de répondre en reprenant son sérieux;

- Je me rappelle du principal...

- Je ne peux pas te montrer... Mais je peux t'expliquer...

Son air sensuel intrigue la curiosité de l'épéiste. Il gémit comme signe d'acceptation.

- J'avais commencé par t'embrasser...

- Mhm...

- Ensuite... J'ai utilisé ma bouche pour autre chose...

- Mhm... Gémit pareillement Zoro pour acquiescer.

- Ma langue ne pouvait pas se séparer de toi...

Ma Distraction Où les histoires vivent. Découvrez maintenant