𝗥𝗲𝗰𝘂𝗲𝗶𝗹 𝗱'𝗶𝗺𝗮𝗴𝗶𝗻𝗲𝘀

Turbo Pokaski

Imagine Daybreak w//Turbo Pokaski
(Dispute/réconciliation/amour)
Dans cet imagine, on va faire comme si Turbo savait parler et qu'il n'était pas gay hein!
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Je leva les yeux au ciel lorsque je vis Mona Lisa se diriger vers la cabane au fond du terrain, là où se trouvait Turbo.
Turbo et moi sommes ensembles, nous l'étions déjà avant l'apocalypse. Mais cette Mona le suit partout comme un petit chien, vraiment! Elle le vénère comme si c'était SON copain. Je resta assise, seule, dans les gradins quand Noah, un des Gorilles, vint me voir.
-Ça va Y/N?
-Oui, et toi?
-Ouais. Ça va avec Turbo? Il a l'air... énervé. Je me contenta de souffler bruyamment. Vas le voir.
-Je peux pas, il y a Mona...
-Nan, elle vient de sortir.
Je regarda donc la direction qu'il m'indiquait et vis Mona, parler à plusieurs Gorilles.
Je me leva donc et partis vers la cabane où se trouve le chef.
J'entre sans toquer et vois Turbo assit sur une chaise, la tête entre les mains.
-Hey... Il ne répond même pas. Écoute, Turbo.
-Laisse tomber. Dit-il après avoir enlevé son masque et son équipement de football.
-Turbo... Je viens m'excuser.
-J'ai dis laisse tomber! Laisse-moi, retourne avec Noah!
Hurle-t'il en se levant, me faisant sursauter.
-Tu sais quoi? Va te faire foutre Pokaski! J'en ai marre sérieux! J'ai parlé une fois à Noah, et tu pète un câble! Moi, j'ai des raisons, Mona, elle te colle, tout le temps. Mais tu t'en rends pas compte toi, parce que ça te plait! Tu te rends même pas compte que ça me fait du mal... Hurlai-je, avant de chuchoter la dernière phrase, les larmes aux yeux.
Turbo s'approche doucement de moi et me prend dans ses bras tandis que je sanglote.
-Je suis désolé.
Je reste contre son torse quelques instants avant de me séparer de lui et de lever la tête, étant donné qu'il est bien plus grand que moi, pour le regarder dans les yeux.
Il pose sa main sur ma joue avant de se pencher et de m'embrasser délicatement.
Contrairement à ce que l'on pourrait croire, Turbo a toujours été très délicat avec moi, toujours attentionné.
Nous nous séparons avant de sortir de la cabane, après qu'il ait remit son masque.
Nous retournons à la fête et buvons avec les autres.
Rien à foutre de l'apocalypse.