Tom Jedusor •PARTIE QUATRE•

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Imagine Harry Potter w//Tom Elvis Jedusor.
(Âme-sœur/haine/difficultés/amour)

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Tu regardais ton assiette, le regard vide.
Après votre discussion, Tom n'était finalement pas venu manger, et tu devais supporter la voix cinglante de Bellatrix Lestrange.
Ta migraine augmentant, tu décidas de te lever, faisant taire la table, avant de t'en aller sans un seul regard pour les Mangemorts. En chemin vers ta chambre, tu passas devant celle du Seigneur des Ténèbres, et tu t'arrêtas, fixant la grande porte en bois vernis.
Ta marque te brûlais, encore.
Au moment où tu voulus continuer ta route, la porte s'ouvrît et Voldemort posa son regard sur toi.
-Y/N, comment puis-je t'aider?
Tu le fixas, essayant de comprendre pourquoi tu t'étais arrêtée.
C'était comme un automatisme.
-Je... je ne sais pas. Déclaras-tu en sortant de ta transe, te tournant légèrement pour continuer ta route.
Mais il te retenu par le poignet, les sourcils froncés.
-Tu vas bien?
-Je crois. Ton regard se perdit dans le vide, comme si tu te posais toi même la question.
Il fronça d'autant plus les sourcils avant de te tirer dans sa chambre.
Il te força à t'asseoir sur un des canapés avant de s'accroupir devant toi.
-Parle-moi.
-Je n'ai rien à te dire, Tom.
-S'il te plaît, parle-moi. Je veux que tu sois heureuse, c'est tout ce que je souhaite.
-Alors laisse-moi partir. Déclaras-tu en le regardant dans les yeux. Laisse-moi retourner à Poudlard. Laisse-moi retrouver mes amis, j'ai besoin d'eux.
-C'est de moi dont tu as besoin. Annonça-t'il en se levant.
-Certainement pas. Je n'ai pas besoin de l'homme, qui a tué mes parents, dans ma vie. Dis-tu en te levant à ton tour.
Tu le défiais du regard.
Et même si il détestait ça en général, venant de toi, il adorait.
Il posa ses mains sur chacune de tes joues, gardant son regard ancré dans le tien.
Ses yeux se posèrent sur tes lèvres et il s'approcha dangereusement de ces dernières.
-Ne fais pas ça... Le supplias-tu, sachant que tu ne résisterais pas si il le faisait.
Il ne t'écouta pas et effleura tes lèvres des siennes, avant de fermer les yeux et de coller vos bouches ensembles.

Ce fut exactement à ce moment là que tu compris que vous étiez destinés l'un à l'autre.
Le moment où ta marque se mit à te faire ressentir une douce chaleur réconfortante.
Tu savais que ça allait être compliqué.
Mais pile à cet instant, tu te sentais invincible.

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Woa.
C'était... long.
Ça faisait longtemps que je voulais écrire un imagine très long, en plusieurs parties, comme celui-ci.
Si ça vous a plus, n'hésitez pas à voter pour que je sache si je dois en réécrire ou non.
Bisouuuuus.

𝗥𝗲𝗰𝘂𝗲𝗶𝗹 𝗱'𝗶𝗺𝗮𝗴𝗶𝗻𝗲𝘀Où les histoires vivent. Découvrez maintenant