À l'aube de la rédemption : Les frères Vallejo

| Chapitre 44 |

Wendy

Alors qu'Alec disparaît entre mes jambes pour positionner sa tête entre elles, je le stoppe précipitamment.

— Attends ! Alec j'ai mes règles, tu ne peux pas...

— Je ne vais pas avaler ton sang bébé, en plus l'eau arrête les saignements. T'inquiète pas, je suis expérimenté. A ce que je sache le sang sort pas par ton clitoris ? Je suis un Dieu du sexe, dit-il d'une voix teinté d'un ricanement.

Non, il a raison.

Mais quand même...

Il retourne entres elles puis pose ses douces lèvres sur ma fleur de désir mouillé par l'excitation, au début ça me chatouille puis quant il commence à les bouger ça devient de plus en plus désirant. Mes parties s'humidifie automatiquement et je commence à gémir de plaisir en tirant ses cheveux. Il frotte délicatement mon téton avec son pouce en même temps de bouger sa bouche contre mes cuisses, tout ce qu'il fait est tellement bon que j'en perd la tête.

Je crois que j'ai compris ça technique, il fait que des baisers il lèche pas intégralement ma vulve, pour ne pas atteindre mon sang qui c'est miraculeusement arrêter quand je suis toute suite allez sous l'eau avec lui. Ça a toujours été comme ça, le sang s'arrête de couler quand je vais à la douche.

Il est pas bête et comment peut-il savoir autant de détail sur les parties intimes de la femme ?

Sa bouche s'immobilise dans l'acte, il me regarde le sourire aux lèvres.

— Tu veux que j'arrêtes ?

— Non !

Il ricane en retournant entre mes jambes pour titiller mon clitoris. Je me tortille en serrant dans mes poings le drap du lit, c'est bon, tellement bon. Je veux plus, beaucoup plus !

— Continue, soufflé-je les yeux fermés par l'intense désir que je ressens.

Mes seins se dressent vers le haut lorsqu'il remonte sa bouche vers le nord de mon corps en laissant traîner des baisers mouillés sur mon ventre. Je soulève mon bassin en savourant plus ses caresses devenues pressées et envoûtantes. Il dessine de minuscules cercles autour de mon bouton de jouissance avec sa main libre puis délicatement mais fermement il me pénètre avec avec deux doigts comme sous la douche.

— Putain, tu mouilles tellement, grogne-t-il en caressant si lentement sa verge que ça doit en être douloureux pour lui.

Il fait des vas-et-viens infernal qui glisse contre mes parois intimes ce qui me fais me tortiller comme une forcenée. Bon sang ce qu'il est doué ! Les pulsations de mon sexe ce contracte tellement que je perd presque connaissance. J'inspire brusquement tandis qu'une vague de plaisir monte dans ma colonne vertébrale. Mon sang s'embrase dans mes veines quand je sens qu'il me regarde, sûrement comme un homme marié observe amoureusement sa femme, avec pleins de gratitude. Je réprime un juron quand ses doigts vont de plus en plus lentement.

— Est-ce que c'est bon tesoro ?

— Oui, soupiré-je la main qui agrippe sa nuque.

Il retire ses doigts de moi avant qu'une jouissance jaillit de mon âme puis attrape mes mains pour que j'agrippe son boa. Je gémis une seconde fois quand ses dents frôlent ma clavicule.

Il veut me faire languir...

Il a pas changer, toujours un connard.

J'ai l'impression qu'il a beaucoup trop prit d'hormones son membre, encore plus que la dernière fois.

— Ça passera une deuxième fois en moi ?

Sa verge ne passera jamais dans mon vagin, surtout qu'il doit s'être resserré, ça fait des semaines qu'on a pas refait l'amour depuis ma première fois donc...