Wendy
J'ouvre les yeux difficilement et aperçois un homme de petite de taille avec des oreilles pointues. Je lance un petit crie quand je vois qui l'a des yeux non vert ni bleu ou noir mais jaune avec des reflets blancs.
— Q-qui êtes vous ?
— Je me présente mon nom est Eledhwen.
— Où suis-je ?
— Vous êtes dans mon humble demeure Wendy. L'alpha m'a demander de vous soigner. Vous devez vous reposer
— Où est-il ?
— L'alpha est allé prévenir sa famille que les présentations se feront plus tard dans la journée.
— J'ai du mal a comprendre.
— La famille de l'alpha souhaite vous rencontrer, ils habitent dans les favélas de Mexico.
— Oh...
J'entends des gros pas lourds dans le couloir se rapprocher de nous. C'est Lui. Il ouvre la porte de la chambre brutalement et se dirige vers moi pour me prendre contre lui.
— Ça ne va pas duré.
— De quoi ?, chuchoté-je contre sa nuque.
— Le fait d'être comme ça. Tu vas repartir au Canada, le plus rapidement possible.
— No-
— T'as plus ton mot à dire, c'est décidé.
Mon amant se redresse puis attrape son arme entre ses mains, il la nettoie avec un chiffon en penchant sa tête en arrière pour regarder le ciel par la fenêtre. Sa pomme d'Adam bouge lentement, c'est si sexy que je dégluti d'envie de me rapprocher de sa présence. Il est en colère, ça se sent rien qu'à la température changeante de la chambre. Normalement dans ces cas là il faut pas le déranger mais je peux pas m'en empêcher.
— Pourquoi fais-tu ça ?
Alec lève les yeux vers moi, ces yeux me transperce le cœur comme une lame tranchante. Il exprime tout le temps sa haine envers moi mais il reste tellement beau à chaque fois.
Un ange déchu...
— Faire quoi ?
— Nettoyer ton arme alors qu'elle est propre.
— C'est une habitude, comme toi, tu as tes habitudes.
Il est vraiment bizarre ce mec...
Mais ça t'empêche pas de craqué pour lui.
On t'a rien demander toi et puis je craque pour lui parce qu'il est différent des autres.
Je soupire et me lève pour aller piquer un croissant dans le plateau de nourriture. Je mange rapidement comme un hamster.
Je me dirige vers une porte qui me semble être la salle de bain, une fois à l'intérieur je me déshabille et me lave. J'enfile un short en jean et vole l'un des t-shirt d'Alec que j'ai trouvé sur le lit tout à l'heure. Juste pour sentir son odeur divinement bonne.
— Qu'est-ce que Eledhwen m'a donné ?, dis-je en sortant de la salle bain.
D'ailleurs il est plus là, j'avais pas remarqué.
— Il a fait une posions pour soulager quelques temps ta douleur.
— Il n'est pas humain ?
— Non, c'est un Elfe de maison mais depuis quelques siècles il habite seul et a prit son indépendance. Il t'a respecté j'espère ?
— Oui, un peu trop même.
Je lance un petit rire en repensant à son attitude, il m'a l'air d'être gentil.
— Il est à moitié un enchanteur.
— Mmh.
— Ce soir on va voir ma famille.
Je le regarde et m'approche de lui.
— Quand on rentrera, je te laisserai tranquille, faire ta vie mio tesoro, dit-il.
— Je peux t'aider.
— Tout les surnaturels son immortel mais on a tous un point faible...Les vampires c'est une dague en bois dans le cœur, les sorcières c'est leur pouvoir qui les tue en général et les loups garous, c'est le flacon d'Oregon...
— Qu'est ce que c'est ?
— Il ne faut pas croire à tout tes dessins animés du grand méchant loups qui mourra comme un simple humain, on est tous différents mais on reste des surnaturels.
— Oh je ne savais pas ça moi.
— Tu viens de découvrir que t'es une sorcière amor.
— Pourquoi on appelle ça le flacon d'Oregon ?
— Parce qu'un loup a été noyé dans l'Oregon le soir de la pleine lune, on raconte qu'il a été sacrifié puis laisser pour mort. Son sang est envahit par la rivière. Il avait la haine, la rage et la tristesse en lui, c'est pour ça qu'un loup ne doit pas boire ou touché cette rivière sinon il mourra comme le loup sacrifié.
— Pourquoi on l'a sacrifié ?
— Parce qu'il mangeait et volait les récoltes des villageois.
— C'est terrible.
La journée passe vite, j'ai appris à connaître Eledhwen et j'ai remarqué qu'il était très timide et aimable. Il m'a fait une visite guidée de sa demeure et m'a même apprit à faire des crêpes, on a passé la journée à faire des pâtisseries et à s'amuser. Alec était ma trop dans notre monde mais ça lui arrivais de rire juste quelques micro secondes. Enfin pas vraiment rire mais sourire légèrement et lancer un petit bruit.
Ce sons est tellement rare et magnifique à la fois, j'ai pas assez entendu ce sons.
En ce moment je me regarde dans le miroir pour observer mes imperfections, je n'en ai pas beaucoup à par quelques boutons. Ma poitrine est toujours aussi petite mais je dois faire avec. Mes cheveux s'arrêtent à la naissance de ma poitrine et ils sont ondulés au naturel. Je suis vraiment simple comme fille. Je porte une robe blanche longue avec un petit décolleté et je suis toujours avec mes sandales.
J'attrape mon téléphone et descends pour le rejoindre à la porte d'entrée.
Il me regarde en souriant, fière d'être avec une beauté comme la mienne.
De qui tu parles Wendy ? Parce que c'est sûrement pas toi.
Je serre les dents en ignorant la remarque sanglante de cette conscience qui ne sert à rien.
— Tu es magnifique.
— Merci.
Il me prends par la main et ouvre la porte d'entrée. Un chauffeur baraqué nous attend devant une voiture de luxe, nous entrons.
Je vais enfin rencontré la famille d'Alec du côté de son père. Maintenant espérons qu'il soit aussi gentils que sa famille principale.
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À l'aube de la rédemption : Les frères Vallejo
Roman d'amourJe n'aurais peut-être jamais dû croiser le regard verdâtre de ses yeux. Ça m'aurait évité d'autant plus souffrir par sa faute... Les femmes ne sont que des pions pour lui mais d'après les anciennes preuves légendaires, chaque loups-garous est destin...