Wendy
Je suis allonger sur le lit confortable, il est un peu près dix-huit heures et Alec est partit depuis cinq heures, soit disant il devait "réglé des affaires qui ne me concerne pas", depuis ce matin notre relation c'est amélioré. Il se montre plus doux envers moi mais il ne faut pas se fier aux apparences. Quant il s'agit de lui, on peut s'attendre à avoir que des surprises.
J'ai manger mon plat du midi. Pour le soir Alec m'a prévenu avant de partir qu'on allaient mangés en dehors de l'hôtel, ça va me laissé l'occasion de visité Mexico. Je continue à lire mon roman que j'ai ramené du Canada.
La porte s'ouvre sur un Alec en sueur, qui saigne de l'arcade, ses phalanges sont écorchées. Je me positionne rapidement devant lui pour l'inspecter de mon regard inquiet.
— Qu-qu'est-ce qui t'es arrivé ?!, bafouillée-je.
— Rien, ça te concerne pas.
Et c'est repartis, il va encore s'en prendre à moi avec sa colère, de toute façon pour lui tout est de ma faute.
— Très bien.
Je me rallonge, le dos contre la tête de lit. Je remets mes écouteurs puis continue de faire comme si il n'existait pas, cela a pas l'air de le plaire parce qu'il s'en va dans le balcon pour aller sans doute fumer comme d'habitude.
J'abaisse ma robe qui c'était remonter jusqu'à mes cuisses tout en le surveillant. Il me fixe comme un prédateur, sa cigarette est coincée entre ses lèvres. Qu'est-ce que je donnerai pour pouvoir être à la place de cette cigarette, il aspire la nicotine toujours en me fixant et recrache la fumée puis jette son mégot, il sort du balcon d'une démarche assurée.
Il monte sur le lit, place son corps au dessus du miens pour mieux m'avoir à l'œil. Il sent énormément la cigarette mais cela ne me dégoûte pas, du moins pas en ce moment. Il pose ses lèvres sur mon front puis sur mon nez.
— T'as finis de me bouder ?
— Je ne te boude pas.
— Si bébé, tu me boudes.
Il fait une moue trop mignonne et me prend dans ses bras chauds.
— Au faite, cette robe te va vraiment bien mais tu ne sortiras pas comme ça.
— Je fais ce que-
— Je ne le répéterais pas Wendy.
— Mais il fait extrêmement chaud dehors et je vais quand même pas mettre un jean.
— J'ai dis non.
— S'il te plaît...
Il se redresse et enfile sa veste en cuir puis s'adosse au mur pour m'observer de près. Je me lève et le rejoint en faisant une moue irrésistible, je mets mes bras autour de son cou en me hissant sur la pointe des pieds pour lui faire un baiser sur les lèvres. Il glisse ses mains sur mes hanches pour après m'embrasser presque me dévorer la mâchoire.
— Ok.
Mon sourire s'élargit instantanément en l'entendant.
— Merci !, dis-je impatiente de pouvoir sortir de cet hôtel.
J'enfile mes sandales doré et attache mes cheveux avec un chouchou.
— Je suis prête.
Arrivé dehors un courant d'air chaud me prend par surprise. Merde, il fait vraiment chaud ici pire qu'à Los Angeles, moi qui est habituée à la température fraîche de Paris.
Alec finit par me prendre la main et m'emmené devant une moto !
— C'est quoi ça ?
— Ça ne se voit pas.
VOUS LISEZ
À l'aube de la rédemption : Les frères Vallejo
RomansaJe n'aurais peut-être jamais dû croiser le regard verdâtre de ses yeux. Ça m'aurait évité d'autant plus souffrir par sa faute... Les femmes ne sont que des pions pour lui mais d'après les anciennes preuves légendaires, chaque loups-garous est destin...