À l'aube de la rédemption : Les frères Vallejo

| Chapitre 9 |

Wendy

Je sais que ça peut sembler improbable mais en entrant dans ma chambre j'ai aperçu cette fameuse page tout droit sortie d'un livre vu la copie. Comme si une personne l'avait faite pour me transmettre la vérité. La page est si légère et fine que j'en ai peur de la déchirer rien qu'en l'attrapant dans mes mains. L'encre des lettres dessus est petite mais longue. L'écriture est si correcte que je me demande qui a put l'écrire.

Je n'attends pas une seconde de plus que je commence ma lecture.

La famille Vallejo, une famille gorgée de secret et de terreur. Cette famille qui est descendante depuis des siècles et toujours taper par une malédiction. Cette famille à été taper par la malédiction par une ensorceleuse jalouse et démoniaque, Satis on l'appelait autre fois. Elle est morte d'une maladie inconnue que personne ne sait à l'heure d'aujourd'hui. Cette malédiction est un sortilège qui tape sur tout les descendants et générations de la famille Vallejo, elle est doté d'un pouvoir très puissant. Satis était jalouse de Merise Vallejo la femme la plus belle et convoitée par les hommes du village. Donc le soir de ces 18 ans, Satis est rentré dans sa demeure et l'a lancé un sort qui suivra des générations et des générations futurs. Lorsqu'un membre de la famille des Vallejo trouvera son âme sœur destinée, jusqu'à donner sa vie pour cette personne. La concernée finira par croiser le destin de la mort. Cela commencera par des souffrances puis par ne plus pouvoir respirer, pour se noyer dans les limbes de la muerte.

Une histoire si triste. Voilà pourquoi Alec a été obligé de me laisser m'en aller. Il a comprit qu'il fallait cesser de faire parler ses pulsions. Mais si il le savait pourquoi m'a-t-il kidnappé ? Et comment Mary a fait pour rester aussi longtemps avec Jay puisqu'ils ont une malédiction qui leur colle aux fesses.

Peut-être parce que ce n'était pas un amour sincère.

— Qu'est-ce qu'il y'a ?, me demande Leslie en débarquant dans la pièce.

Elle était allé s'épiler dans la salle de bain. D'après elle, faut être au top du top chaque jours de l'année. Et y'a moi qui ne fait aucun effort à ce sujet là, j'estime qu'on est en hiver pour ne pas m'épiler alors je peux me le permettre, non ?

Elle change de sujet en finissant par me proposé de sortir faire un tour aux alentours du campus. Ça me dérange pas, loins de là, j'ai l'impression d'étouffé de l'intérieur, surtout après ce coup de massue mental. Elle a dû voir mon expression du visage alors elle n'insiste pas jusqu'à cette instant.

— Tu veux en parler ?, dit-elle en poussant la porte du café français.

Oui, on a un café français tout près de notre rue d'habitation. Que demander de plus ? Elle y abrite plusieurs étudiants comme nous a leurs heures perdues. La décoration est simple et joviale, j'aime vraiment déjà cet endroit.

On commande la même chose, un chocolat chaud à la cannelle. Ça me brûle la langue quand j'en prend a petites gorgées tellement ces chauds mais c'est délicieux n'empêche. Ça me fait pensé aux périodes de Noël. J'adore ces périodes là. J'ai toujours eu des bons souvenirs avec elles, au côté de papi.

— Oui.

Je lui explique tout ce que j'ai lu quant elle était occupé à se faire belle. Elle m'écoute attentivement, c'est ce que j'admire chez elle. Tu pourrais tout lui raconter que ça soit intéressant ou non elle ne cessera jamais de t'écouter.

— La mère de ton âme sœur y a échappé, c'est ça ?

J'hoche la tête.

— À mon avis c'est parce que il aimait pas vraiment. Sinon elle ne serait plus de ce monde. Mais elle, j'en suis certaine qu'elle l'aimait malgré ce qu'il faisait à ces fils, sinon elle serait pas rester aussi longtemps avec lui.