| Chapitre 48 |

3.1K 124 1
                                    

Wendy

Il fait nuit sombre et Alec m'avait prévenu qu'il reviendrai dans cinq bonne heures, ça fait bien plus de cinq heures. Toutefois je le concède que j'ai pas à m'inquiéter c'est pas non plus un enfant mais je peux pas m'en empêcher de pensé à ce qu'il a bien pû faire pour oublier de venir.

Même Athéna est pas là, elle dort chez...j'en ai aucune idée. Elle est très mystérieuse, d'autre part c'est perturbant.

Il est onze heures du soir. Je m'imagine toutes les scènes qu'il peut faire pendant son absence, il est éventuellement entrain de coucher avec une autre femme que moi, entrain de faire l'infidèle pour encore me faire du mal puisque que c'est son passe temps préféré.

Roh arrête de te fatiguer l'esprit.

C'est plus facile qu'à dire, qu'à faire surtout quand on est une conscience.

Mes yeux rivés en hauteur, les pierres de l'édifice laisse une fraîcheur dans la pièce.

Quand j'entends la poignée de porte se pencher vers le bas je ferme mes yeux en vitesse et rabat ma couverture. Il est hors de question qu'Alec s'aperçoit que je m'imaginais des idioties dans ma tête parce qu'il est pas venu à temps, sa fierté va gonfler à bloque.

Je peux sentir son regard me percer à travers l'ombre de la chambre. Je peux entendre ses pas se rapprocher de mon lit pour enfin se stoppé près de moi, sa respiration est calme et sa main ne se gêne pas pour me caresser les cheveux avec douceur, ce qui m'étonne. Alec n'est pas du genre à être doux.

Il a malheureusement prit ça de son père d'après ce que j'ai entendu à son sujet.

— Trésor, trésor, trésor...

Oui mon amoureux ?

Je rigole dans mon esprit, ce que je suis enfantine parfois.

— Ne fait pas semblant d'être entrain de dormir dans un autre monde que le nôtre. Hum ?

Je mords ma langue en grimaçant. Ce que je suis mauvaise actrice ! Au moins c'est décidé plus tard je serai jamais comédienne de cinéma.

J'ouvre mes prunelles en me retournant en direction de son visage voilée par la nuit sombre. Une mèche de ses cheveux tombe sur son œil gauche, c'est sexy, ça le rend d'autant plus attirant. Ces sourcils sont froncés, un sillage de brillance grâce à la lune encercle son visage. En face de moi au bout du lit, je sais pas ce qu'il fait mais il enlève sa veste et son t-shirt. Il reste plus que son bas.

Il soulève les draps pour se mettre entre mes jambes. J'arrive à peine à voir son corps en entier, j'entends juste sa braguette qui s'ouvre et le bruit de sa ceinture qui claque contre les boutons. Il laisse couler des marques de baisers sur ma peau en glissant mon tanga vers les chevilles. Je peux constater que sa verge se frotte délicatement contre ma chère après qu'il est enlevé son caleçon, ça me fait gémir nettement.

Je ne comprends pas comment il peut autant avoir envie de coucher. On l'a pourtant fait sauvagement ce matin.

De plus je me demande avec qui il l'a fait pour la première fois ?

Bon sang c'est absolument pas le moment pour penser à ce genre de chose Wendy !

Certes mais...

Je tire ses cheveux qui touche à peine ses épaules et le sert comme un koala pot de colle. Il me pénètre violemment, ma gorge se sèche et mon oxygène s'affaiblît soudainement. Ses coups a l'intérieur de moi n'ont assidûment pas changé. Ils sont aussi brutales que jamais.

Dix bonne minutes plus tard après des sensations d'extase il sort de mon vagin avec sa semence qui déborde de moi, en me serrant contre lui la couette se trouve sur le côté du lit à cause de la chaleur de notre partie sportive.

À l'aube de la rédemption : Les frères VallejoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant