| Chapitre 20 |

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Wendy

— Est ce que tu vas me transformer en louve ? Alex m'avait dit que quand on est humaine et que son âme sœur est un loup, il va forcément te transformer, puisque je suis une sorcière je crois que c'est la même chose.

— Que tu sois une louve, une sorcière ou une humaine, je dois te transformer dans tout les cas. Je t'assure pas que ça ne feras pas mal.

— Mon Dieu, quant est-ce que tu me mordras ?

— Au temps voulu pour l'instant il faut trouvé une solution le sortilège.

— Maintenant t'es d'accord avec moi.

— Faut bien qu'on trouve une résolution.

— Pour ma sécurité et la tienne.

— Pour la tienne.

Il me prend par la main pour qu'on descende du taxi. Nous somme devant une sorte de montagne avec énormément de bidonville. D'ailleurs comment les maisons font pour ne pas tomber ?

Nous avançons vers les marches pas très propre et étroite de la favélas, nous tournons dans des petits chemins, mains dans la main. Les habitants n'arrêtent pas de nous observer d'un œil, Ice me tire vers lui pour pas que j'attire l'attention.

— N'ai pas peur des coups de feux qu'il y aura ce soir.

— Des coups de feux ?

— Oui, bébé.

Bébé, depuis quand c'est son genre de m'appeler comme ça, si craquant...

— Pourquoi ta famille vie ici ?

— On a pas tous ôtant d'argent.

— Oui, mais tu peux les aider en leurs donnant un petit peu de monnaie-

— Wendy, ils ne veulent pas dépendre de moi. Je les ai déjà donné de l'argent de force mais ils refusent toujours de l'utiliser.

— Mais-

Ses iris menaçant sondent ma curiosité.

— Cesse avec tes questions, tu es trop curieuse.

— Ça n'est pas de ma faute-

— On es arrivé donc évite de faire ta gamine.

Je croise les bras et gonfle mes lèvres pour faire un semblant d'être fâché, il m'a vraiment vexé.

— Wendy..., soupire-t-il, vient là.

Je le répond pas et continue de marcher en l'ignorant.

— T'es vraiment susceptible pour réagir d'une façon si enfantine.

— Tu me soûles à me couper tout le temps la parole.

— Ça ne se passerait pas comme ça si tu évitais de posé des questions tout le temps.

Nous arrivons enfin après quinze minutes de marches. Alec toque à la porte et une vielle femme ouvre avec un petit sourire sur les lèvres quant elle le voit.

Mi pequeño hijo ! (Mon petit fils)

Abuelita. (Mamie)

Te extrañé. (Tu m'as manqués), dit-elle en le prenant dans les bras.

Je souris à ce merveilleux portrait, c'est tellement beau de voir Alec souriant et heureux ce qui est la plupart du temps rare.

Après leurs étreinte terminé, je toussote légèrement pour qu'on puisse me remarqué.

À l'aube de la rédemption : Les frères VallejoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant