| Chapitre 45 |

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Wendy

Ses lèvres se moulent parfaitement sur les miennes dans une tentions électrique, comme si elles étaient faites que pour moi. Ses muscles se contracte sous ses tatouages. C'est fabuleux.

Le dos calé sur les draps, j'observe le tissu de la tente ainsi que la luminosité. Il cherche à me donner envie de lui. Certes ça marches mais je me sens pas de recouché avec lui après un ébat aussi sauvage il y a à peine quelques heures. Et puis je suis épuisé, donc je le repousse en le regardant.

— Qu'est-ce qu'il y a ?

— Pas maintenant, plus tard.

— Oh alors tu veux qu'on mange des chamallow grillé, dehors ?

Oui ! Quelle question ?!

— Avec du chocolat fendu ?!

— Ouais, dit-il en souriant, ce qui fait ressortir encore plus ma joie.

Il se penche derrière moi pour attraper le gros paquet d'haribo et le bol de chocolat.

— Je savais que tu voudrais du chocolat avec des guimauves.

Nous sortons de l'intérieur emmêler de doux lainage, on s'assoit sur l'herbe fraîche. L'environnement entouré de millier petits chênes Alec allume un feu avec son briquet. Les gros bout de bois étaient déjà poser les uns sur l'autre. Le bois se défraîchit pendant que le feu grandit. Il attrape les petits bâtons pour piquer la sucrerie. Il m'en tend un, l'object planté dans la guimauve.

Je finis par tendre mon bras pour la faire fondre, ça commence à sentir bon. Ça me rappelle quand j'allais dans des camps de vacances, malgré que j'ai vécu avec la richesse mes parents on toujours essayer de m'emmener dans des endroits comme ceux là, pour que je me fasse des amies et être moins seule. Pour que je ne sois pas différente des autres enfants mais il a quand même fallut que je travaille avec acharnement a partir de seulement sept ans.

Dans mes camps de vacances ils y résignais la joie, les sourires et les rires. J'allais tout le temps dans un endroit différent et je me faisais tout le temps des amis. J'y suis pas aller une dizaine de fois mais il m'a fallut seulement trois fois pour que je me sente bien.

Le reste de mes vacances se passais à la mer glaciale avec mon grand-père ou j'allais avec mes parents mais c'était difficile. Ils travaillaient souvent, surtout dans les périodes de Noël. Donc je les passait encore avec mon grand-père, sa compagnie me dérangeait pas mais je voulais quand même avoir la présence de mes parents. C'est quand même Noël ! Une grande fête !

Je tressaillit en sentant la main du criminel se poser sur mes cuisses dénudés. Je suis complètement nue en dessous de se bout de tissu et il le sais, juste ma culotte nous sépare. Je n'ai pas de chaussure aux pieds, ni de veste. La chaleur de la ville me réconforte mais il y a un peu de vent.

Ça ne me dérange pourtant pas.

Je retire ma sucrerie du feu pour la trempé dans le chocolat. Quand le chamallow rentre dans ma bouche, je laisse un soupire de gratitude sortir de mes lèvres, c'est tellement bon et sucré. Tout ce que j'aime, le sucre.

Je vais finir malade à autant aimé les sucreries.

On mange en silence, c'est un silence rassurant, c'est apaisant comme une séance de détente. Les bruits de la nuit me rend encore plus heureuse. Je suis vraiment reconnaissante de cette journée merveilleuse même si j'ai souffert d'une morsure quelques minutes avant. Je l'oublie presque puisque la douleur a duré juste une dizaine de secondes. Ça a fait quand même relativement mal. J'ai eu l'impression que j'allais mourir et que j'allais tomber dans un trou sans fin. C'était flippant.

À l'aube de la rédemption : Les frères VallejoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant