Chapitre 49

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Je ris, c'était plus fort que moi, il a fait une tête, comme-ci c'était une affaire d'Etat, de plus c'est moi qui lui ai fait ça, et c'est moi avec qui elle est, et qui lui porte un attachement particulier, comme il dit pour éviter de dire qu'il l'aime, ce qui est bien évidemment le cas. Ils me regardent tous étrangement.

Liam : Harry est en train de dire que tu es peut-être en train de la perdre alors que tu l'aimes, et toi ça te fait rire ! Je te comprend pas.

Louis : J'avoue que moi non plus je ne comprend pas. Tu ne l'aimes plus ?

Niall : Il l'aime encore, puisque quand je lui proposai de sortir avec des garçons que je connaissais, il me lançait des regards noirs !

Moi : Donc tu me voyais et tu n'arrêtais pas ?!

Niall : Tu prenais trop de temps pour lui avouer !

Harry : Oui, même si au final tu lui as dis, c'était long.

Il se rend compte qu'il a gaffé lorque les regards choqués des garçons se posent sur moi. Je ne leur avais pas dis que je lui avait avoué mes sentiments à la soirée en boite qu'on a tous passé ensemble. Je leur raconte alors. Une fois que j'ai fini de raconter, ils sont tous choqués. Ils me crient dessus car je n'ai rien dit.

Louis : Enfin bref, revenons aux suçons ; ça veut dire qu'elle ne t'aime plus, ou qu'elle a décidé de t'oublier avec un autre, mais ce n'est pas son genre je pense.

Ils se torturent tous l'esprit à savoir le pourquoi du comment de ses suçons, je les reagrde amusé. Je vais leur dire, les pauvres ils se cassent la tête pour moi.

Moi : Stop les gars! C'est moi qui lui ai fait ces suçons, elle et moi on est en couple.

Ils tournent tous la tête vers moi, ils sont choqués au départ, puis un grand sourire prend place sur leur visage. Je suis content qu'ils soient heureux pour moi, ce sont vraiment de vrais amis, je les adore. Ils me félicitent, et demande comment ça s'est passé, je leur raconte tout, mais je leur demande d'attendre avant de dire à Léa qu'ils sont au courant, je voudrais lui dire moi-même. On continue de parler, mais d'autre chose cette fois-ci. On joue aussi à la play, et surtout on mange.

Il est maintenant 19h55, et la porte d'entrée s'ouvre sur Léa qui porte des sacs, elle est au téléphone, elle a l'air agacé et énervé.

Léa : Ouais non mais le gars lourd par excellence ! En fait je t'explique, j'étais dans le magasin pour récupérer le cadeau de Steven, et il y a un gars qui me regardait. Je n'ai pas plus fais attention, ensuite j'ai un peu traîné dans le magasin pour voir si il y avait un truc qui pourrait me plaire, et là dans le magasin Be honest de Jorja Smith passe, et je chantonne parce que j'aime trop la musique, il vient vers moi, et il me dit : « Avoue que tu chantes ça pour moi ma belle, j'ai bien vu que je t'ai tapé dans l'œil, et j'avoue que toi aussi ! ». Mais lol, il a tapé dans l'œil de qui, avec ses dents de cheval, il m'a fait mal à l'œil avec sa mocheté oui ! Non, en vrai il était beau, mais il m'a énervé, donc il est devenu moche, je sais pas si tu vois ce que je veux dire. Oui voilà c'est ça !

Elle lève les yeux vers nous, et voit qu'on la regarde tous, elle s'excuse et part dans la cuisine, je la suis, pour savoir la suite. Elle s'asseoit sur une chaise, je reste debout derrière elle, elle ne m'a pas vu, elle ne sait pas que je suis là.

Léa : Et genre le mec il me suivait dans les magasins, parce que comme je t'ai dis je l'ai recalé, je lui ai dis que j'avais déjà quelqu'un. T'inquiètes pas Charlie, je te raconterai plus tard, je veux attendre un peu avant. Bref, je disais, il me suivait partout, il m'insultait et tout, il me retenait par le bras pour que je le regarde,pour que je lui parle, genre il m'a attrapé fort par les joues et il m'a fait le regarder, il m'a dit : « Tu me regardes quand je te parle, tu te prend pour qui, t'es rien du tout, t'as de la chance que je te regarde déjà. » et plein d'autres trucs comme ça, j'ai commencé à avoir peur, donc je suis parti voir une vendeuse, je lui ai expliqué la situation, elle était trop gentille et compréhensive, vraiment un ange. Elle m'a dit : « Enfermez-vous dans une cabine, je vais prévenir un agent de sécurité, je viendrai vous prévenir quand il sera parti, et qu'on se sera occupé de lui. » J'ai fais ce qu'elle m'a dit, et genre j'entendais des éclats de voix, le gars il me traitait de tout les noms, il disait que c'était moi, je sais pas quoi, enfin bref ça m'a saoulé. C'est pour ça que j'ai dû raccrocher au téléphone avec toi, parce que j'avais trop peur qu'il le prenne et qu'il le jette par terre, tellement il était fou.

Elle s'arrête de parler, comme beaucoup de fois pendant son récis, pour écouter Charlie. Elle dit qu'elle a vraiment eu peur, elle dit aussi que même si ce n'est pas la première fois, elle n'est toujours pas habituée. Elle raccroche ensuite, je m'approche d'elle, j'entoure ses hanches de mes bras, et pose ma tête sur son épaule. Elle pose sa main sur ma joue, elle la caresse doucement. Elle se tourne vers moi, elle me regarde droit dans les yeux, je peux voir qu'elle est énervée, je le suis aussi, je n'étais pas avec elle, je ne sais pas ce qui aurait pu lui arriver avec un malade pareil. Le pire c'est que ce n'est pas la première que ça lui arrive.

Léa : Tu as entendu ce que j'ai dis ?

J'hoche simplement la tête, étant beaucoup trop énervé pour parler. Elle baisse les yeux, je la sers fort contre moi, elle me sert fort en retour.

Moi : Tu vas bien ? Il ne t'a pas touché ?

Je prend son visage entre mes mains, et le tourne dans tout les sens pour voir si elle n'a pas de marques, je fais de même avec ses bras, elle pose sa main sur les miennes, je relève la tête vers elle, elle me fait un sourire rassurant.

Lléa : Ne t'inquiètes pas, il ne m'a pas fait de mal.

Je pose mes lèvre sur les siennes, je demande accès à sa langue rapidement, elle accepte. On se détache quelques secondes plus tard, c'était beaucoup trop court à mon goût. Je lui vole plusieurs baisers, elle rit quand je lui en fais dans le cou.

Léa : Arrête, tu me chatouilles ! Allez, viens on va voir les garçons !

Elle pousse doucement ma tête en riant, elle veut descendre de la chaise, mais je reste devant elle. Je ne lui ai pas encore dit que je l'avais dis aux garçons.

Je suis la gouvernante de Zayn MalikOù les histoires vivent. Découvrez maintenant