CHAPITRE 44
Attaque surprise
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J'entends soudainement des bries de cries et d'objets qui se brisent, je me lève directement, j'ouvre ma porte en vitesse et j'en sors rapidement, je cours dans les couloirs, je vois des hommes morts qui gisent dans une mare de sang, leurs sangs.
Un homme bouge encore, je cours vers lui, il me regarde avec détresse et mal être.Je prend son visage et je regarde ses différentes blessures qui parcourent son corps, il crache son sang de sa bouche:
« - Maldita mierda me voy a morir (putain de merde je vais crever).
Je ne comprend pas ce qu'il dit, j'essaye de l'aider, mais il meurt après une longue et bonne minute de lutte acharnée:
« - Repose en paix. »
Je le laisse et je repars en courant, je cherche Val et son enfant, je l'a vois après quelques minutes tenant son bébé contre sa poitrine, je m'avance vers elle, il y a toujours des cries et des luttes.
Elle me regarde paniqué, elle tient fermement son enfant:« - Val qu'est-ce qu'il se passe?
- Je crois qu'on se fait attaquer. »
En entendant ça, je prend délicatement sa main pour l'emmener ce cacher, je monte des marches d'un escalier, j'arrive dans un long couloir remplis de portes, j'en ouvre une qui donne sur une chambre, je l'a fais entrer, je cherche un endroit où la cacher elle et son enfant.
Je trouve un placard, elle se met à l'intérieur avec son enfant, je ferme le placard en la rassurant.Je sors de la chambre en vitesse, je descend les marches de l'escalier, j'arrive de nouveau au rez-de-chaussée, je cours rapidement pour voir ce qu'il se passe.
Pendant que je suis dans le couloir, quelqu'un arrive avec un flingue en main, je me cache derrière un meuble, je prend ensuite un vase et je m'avance doucement vers l'homme:« - Je suis désolée. »
Je fracasse le vase contre son crâne, il tombe au sol et une flaque de sang sort de sa tête, je prend son fusil et je pars dans la course.
Je regarde partout pour voir si il y a une personne qui arrive, mais personne, je continue de marcher et j'entends deux voix, je pointe le flingue qui tremble dans mes mains.Je sors du mur où j'étais caché, je pointe mon fusil mais je vois Oscar et Pablo fusils en mains, je ne les pointe plus du canon que je met de côté en respirant de soulagement.
Ils me regardent en fronçant leurs sourcils, ils me pointent plus de leurs canons:« - El fuego, qu'est-ce que tu fais avec un flingue?
- On se fait attaquer?
- Oui le cartel de Alexandro revienne en chasse, ce sont vraiment des merdes! »
Je fronce les sourcils, mon coeur bat à la chamade, je tiens fermement le fusil entres mes mains, prête à l'utiliser en cas de besoin:
« - El fuego tu ne vas pas l'utiliser?
- Gamine, Eren refuse que tu l'utilises il a été clair. »
Je baisse ma tête en hochant la tête, soulagé de ne pas avoir à l'utiliser, je sais que je ne pourrais pas tuer quelqu'un de mes mains en le regardant. Impossible que je mette fin à une vie, je ne peux pas décider ça, même si c'est une ordure je ne pourrais pas.
Oscar et Pablo partent en me disant de me cacher dans une pièce et de m'enfermer, sauf qu'en entendant les cries de douleurs et de désespoir en sachant qu'ils meurent pour aider leur chef alors que moi je ne risque même pas la mienne, je souffle doucement et je maintiens fermement le fusil puis je me dirige vers les hurlements sanglants et déchirant.
Je le retrouve dans le grand salon, la pièce est remplie de cadavres sur le sol, de balles et de sangs, je vois au loin Eren se battre, il met des balles à tout le monde entres les deux yeux, un homme arrive vers moi:
« - Putain je suis désolée. »
Je frappe l'homme avec le fusil, je ne peux pas tirer avec, ça met impossible, l'homme gémît de douleur au sol, je jette son flingue loin d'ici, je frappe les hommes qui se jettent sur moi à l'aide du fusil. Des balles fusillent partout dans la pièce,au loin il y a Oscar, Pablo, Léo et surtout Eren qui se battent contres les hommes de Alexandro.
J'entends un rire, un rire franc qui s'approche de moi lentement, je me tourne et je vois Alexandro qui sourit de ses dents blanches et il me regarde de haut en bas, pendant que mes membres se mettent à trembler:
« - Mi bella ça me fait plaisir de te voir, toujours aussi sublime à ce que je vois TP. »
Je pointe directement mon arme qui tremble sur lui, je l'entend encore plus rire, il me regarde et il ne sort pas son fusil:
« - Mi bella je sais que tu ne vas pas le faire, tu es trop frêle et trop fragile TP. »
Je charge le fusil en me mordant les joues, mes mains n'arrêtent pas de trembler, je n'arrive pas à les arrêter, j'essaye de rester la plus forte possible mais viser un homme c'est plus compliqué, quant aux autres ils y arrivent sans soucis.
Je tiens mon arme fermement, j'ai toujours eu envie de le faire mourir, mais seulement dans mon esprit. Mon imagination a réussi à le faire mais le faire réellement est trop dur, je tremble tellement que même si je tire je ne le toucherai même pas:« - Regarde toi mi bella, tu trembles tellement. Tu en ai incapable, tu ressembles à tes parents quand je les est tué.
Ils criaient et tremblaient de peurs, c'était si satisfaisant mais le meilleur était ton frère, il était caché dans ton placard à pleurer avec son ours en peluche dans ses petits bras de gamin.
Il t'a appelé en criant mais tu n'es pas venue ça m'a fait tellement de peine, alors pour abréger ses souffrances je lui est mit une balle sans scrupule, boum, il est meurt d'un coup. »
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IN YOUR EYES
Roman d'amourLors d'une balade dans une forêt, sous le soleil chaud d'un après-midi, elle trouve un camion remplis d'armes et de drogues, voulant être une bonne citoyenne, elle appelle la police. Sauf que ce mouvement, cet appel, elle va être mêlée à des affair...