Chapitre 98

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CHAPITRE 98

Les ennemis

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« - TP vient on va faire les magasins,je m'ennuie. »

La porte de la chambre s'ouvre en vitesse, je vois Val habillé qui a ouvert la porte, elle tient son fils par la main, alors qu'elle me sourit, je me lève du lit en posant le livre que je lisais sur la table de chevet à côté du lit, déjà habillé je met seulement une paire de chaussures à mes pieds, nous descendons les marches de l'escalier, je vois du coin de l'œil que sur le fauteuil se trouve Eren qui picole avec ses deux fidèles amis, Oscar et Pablo:

« - El fuego vous faites quoi? »

Je tourne ma tête vers Pablo alors que je tenais dans ma main la poignée de la porte, je le regarde alors qu'il a un joint dans sa bouche, je vois un sourire niais se balader sur ses lèvres, je lève les sourcils en l'aires pour montrer mon agacement:

« - Nous sortons en ville. Au revoir. »

J'enclenche la poignée qui cède dans mes mains, avec Val nous rigolons suivit de Luis et on se dirige vers une voiture, elle va sur le siège passager à côté de moi pendant que son fils est dans un siège spécial pour son jeune âge, elle l'a attaché puis je démarre la voiture, le moteur gronde et je place mon pied sur la pédale qui nous fait directement avancer.

Je roule en chantant la musique qui passe à la radio, Val prend son téléphone pour le brancher et mettre sa playlist, elle appuie sur un son et nous chantons avec les vitres ouvertes qui nous fouettes le visage de cet air frais de la Colombie, le soleil nous réchauffe malgré que nous sommes en novembre.

On regarde les paysages qui défilent, les différents petits commerces en bords de routes, les paysages sont magnifiques, j'entre dans une petite ville, je me gare dans un parking libre à l'extérieur, je sors de la voiture en ouvrant la portière suivit de Val qui après être sortie par sortir son fils, elle lui prend la main et nous nous aventurons dans cette ville.

Il y a de jolies maisons de plusieurs couleurs comme du jaune ou du bleu claire, les rues sont en terres et plusieurs palmiers décorent encore plus la ville, beaucoup de personnes sont de sortis avec ce magnifique temps ensoleillé, je regarde le soleil qui réchauffe ma peau puis nous commençons à visiter.

On passe plusieurs rues avec du mouvement, Luis est heureux de visiter, on voit au loin un petit restaurant. Je pointe le restaurant en terrasse de ma main et je regarde en même temps Val et son fils:

« - Vous avez une petite faim? »

Luis en entendant saute de joie et il sourit joyeux, Val sourit aussi comme à son habitude et on pars manger, on s'installe sur une petite table avec trois chaises qui donne sur la rue, un homme vient nous donner les menus pour qu'on choisisse ce qu'il nous fait envie sur la carte.
Nous prenons toutes les deux du calentao, c'est un plat colombien à basse de viandes, de féculent dont le riz et les pâtes, il y a aussi de l'œuf et des haricots.

L'homme pose nos assiettes et nous commençons à manger, Luis quant à lui a un mélange de maïs et d'haricots rouges avec une petite viande coupée en fine lamelle, après avoir mangé, le plat que je n'ai pas réussi à finir, Val nettoie la bouche sale de son fils, nous sortons de table et nous continuons notre visite.

Les murs sont décorés de couleurs vives donnant plus d'intensité à la ville, Luis pointe tout ce qu'il voit du doigt, soudainement,j'entends au loin une musique colombienne, on court pour aller voir ce qu'il se passe.

C'est une grande fête avec tous les habitants de cette ville,on voit un défilé de personnes avec des tenues traditionnelles colombienne avec cette musique, des passant dansent et frappent leurs mains pour ajouter des notes à la musique et plus de festivité, Luis se met à danser à côté d'un papi qui danse aussi grâce à sa canne, je rigole en voyant leurs danses ridicules, le papi nous regarde en voyant qu'on parle pas espagnol, il se met à parler notre langue:

« - C'est la fête de l'indépendance de Carthagène. »

On l'écoute nous expliquer l'histoire puis on laisse le papi après qu'il nous est montré pour voir un concours de beauté de femmes colombiennes pour montrer et de célébrer leurs beautés. Eren doit être heureux de voir des colombiennes belles et sexys marcher en bikinis dehors.

Nous regardons le concours, ces femmes sont d'une beauté à couper le souffle, Luis ne regarde pas avec intention, tu devrais apprendre à Oscar, Pablo et Eren de le faire, soudainement, mon regard est dirigé vers un homme étrange portant une chemise égocentrique avec des motifs de vaches et de couleurs bleu claire, je prend directement le poignet de Val pendant qu'elle porte Luis:

« - Je crois que les ennemis nous ont retrouvés. »

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