IN YOUR EYES

Chapitre 107

CHAPITRE 107

Isaac Maro

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⚠️Ce chapitre peut heurter la sensibilité, je parle de sujet cannibalisme et de meurtre!

POV Isaac

Je me trouve dans une pièce de ma grande demeure, je suis sur une table en bois devant un cadavre que j'ai tranché, je regarde son ventre rempli d'organes qui sort, comme son intestin ou son foi, je m'approche de lui couteau ensanglanté en main et mes vêtements sont tachés de sang, du sang de l'homme mort devant mes yeux, je me met en face de lui, je lance le couteau qui se plante contre le mur, j'approche ma main de son ventre et je le rentre à l'intérieur.

Je sens les différents organes de l'homme, j'entends le bruit de craquement me laissant dans une grande extase, je prend dans ma main le foi de l'homme,je l'approche de ma bouche et je le place dans ce dernier, je le crache après l'avoir un peu mâché, j'essuie le sang autour de ma bouche et je lèche mes différents doigts ensanglantés.

Je rigole en enlevant le cadavre attaché, je récupère le couteau planté dans le mur, je prend le bras, je découpe la main de l'homme en rigolant, j'entends les os craquer grâce à la lame tranchante qui tranche la peau, les vertèbres et les nerfs.

Une personne rentre dans ma pièce à peine éclairée par une fine lumière de la petite vitre non loin de là où je me trouve, je jette la main du cadavre sur lui en rigolant, je bouche avant la main de l'homme pour saluer Diego mon bras droit, il jette la main du mort avec un grand dégoût sa réaction me fait rire, j'éclate dans un grand fou rire alors qu'il me regarde en fronçant les sourcils, il lève ses sourcils et il part en ferment la grande porte:

« - J'ai envie de te manger. »

Je découpe un doigt de la main que je glisse dans ma bouche comme une sucette, je sors de la pièce à torture, je cherche du coin de l'œil mon bras droit, je le vois sur son bureau à l'entrée, il est assit avec des dossiers dans les mains:

« - Salut Diego, qu'est-ce qu'il se passe.

- Elle arrive.

- Génial! »

Je la vois arriver,elle s'installe sur une chaise libre en face du bureau, je la regarde en souriant, je claque mes mains et une de mes domestiques arrivent avec une coupe remplis d'un liquide sanglant, je dépose le doigt qui était dans ma bouche et je tourne doucement le verre, je bois une gorgée et je sens le goût de fer pénétrer dans ma bouche, un sourire satisfait orne mes lèvres, je regarde mon invité heureux et un sourire sadique se tient maintenant sur mes lèvres. Une excitation s'empare de tout mon corps, j'ai hâte, extrêmement hâte.

Depuis jeune, des pulsions machiavélique sont présentes, avant, je devais les contrôler les garder au fond de moi, caché, mais maintenant je fais ce que chaque pulsion me dit de faire, je suis mon propre esclave, je suis ma propre marionnette sauf qu'elle c'est les pulsions qui tiennent les fils et pas moi.

Alors que je rentre de l'école avec un bocal d'eau avec un poisson rouge qui nage, je le regarde fier, la maîtresse donne la responsabilité pendant une semaine de garder Bob le poisson rouge de notre classe, je rentre dans ma chambre, mais un silence règne dans ma maison, je dépose l'aquarium dans le salon et je prend mon goûter en regardant le poisson tourner, une envie me prend, je plonge ma main dans l'eau, je sors le poisson de l'eau, je le laisse se débattre mon tester en vie, un sourire satisfait reste sur mes lèvres se transformant en un sourire sadique en le voyant plus bouger. Je sers entres les deux mains l'animal, il explose complètement dans ces dernières, j'ouvre à nouveau mes mains et je vois les organes, je lèche mes mains puis je vais laver le reste, je regarde du coin de l'œil l'aquarium maintenant vide.
La classe ne va pas être contente:

« - Pourquoi as-tu fais ça Isaac? »

Je regarde la maîtresse me disputer à cause de l'aquarium vide sans Bob, je ne bouge pas car je suis heureux d'avoir fait ça mon corps n'est pas compressé quand je fais ce que me dicte mes pulsions je vais mieux, je suis apaisé:

« - Ne souris pas Isaac! Qu'est-ce que je vais faire maintenant la classe ne va pas être heureuse.

- Remplacer le. »

Je l'entend jurer, elle me fait sortir de la classe excédé, pauvre chat j'ai dis que c'était de ta faute. Je passe les couloirs, dans la récréation, les élèves me regardent mal et avec intimidation pour me faire peur, je reste dans mon coin en gardant chacune des pulsions qui me viennent en tête, découper leurs têtes, les séquestrer ou découper chaque parcelles de leurs corps, je lèche mes babines en pensant à tout ce sang, cette envie me fait me lever, je vais en direction des toilettes, je me jette de l'eau à la figure pour calmer toutes ces pensée qui sont les miennes, je veux le faire mais je ne peux pas tuer un humain.

En parcourant âge en âge ces pulsions ont augmentés elles ont agrandis, elles sont moins stables même si j'essaye de les stopper c'est une tache impossible à faire, elles vont rester dans ma tête toute ma malheureuse vie.

J'arrache les ailes du cadavre de l'oiseau que j'ai ramené chez-moi après l'avoir trouvé dans le jardin éclaté sur la vitre, je regarde derrière sa peau en l'arrachant puis je met quelques morceaux dans une substance chimique, je vois que peu à peu la peau disparaît, une odeur nauséabonde rempli mes narines, c'est l'odeur de la mort et j'aime ça.
Suis-je fou?