CHAPITRE 99
Hijo de puta
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« - Je crois que les ennemis nous ont retrouvés. »
Val regarde immédiatement où mon regard est bloqué, cet homme avec cette chemise me rappel l'homme qui m'a chassé comme une bête dans une forêt, heureusement, la foule nous cache beaucoup, je passe à l'opposé de lui, je contourne les personnes en tenant toujours fermement le poignet de Val, l'homme à la chemise, nous suit alors que nous partons, mon coeur bat vite en croyant que près de toi je serais en sécurité, mais ce n'ai plus une croyance, c'est un fait, dés que je m'éloigne de toi, le malheur me tombe dessus en plein vole.
Je passe par une petite ruelle entres deux maisons jaunes, il y a des fils accrochés pour étendre le linge et des fenêtres ouvertes, je vois du coin de l'œil à côté d'une grosse poubelle verte, une barre en métal, je la prend en guise entamée de défense alors que je ne sais même pas comment ça marche et de comment on se bat avec ce matériel, je vois du coin de l'œil l'inconnu nous suivre, ma main se crispe contre le métal froid, je suis prête à mourir pour Luis et Val voulant m'aider à faire le deuil de mes parents que je n'arrive toujours pas à faire car ma conscience me crie sans cesse que c'est de ma faute que si j'avais pas appelé la police, je serais autour d'une table à langer avec la famille, mon frère qui devait prendre un nombre en guise d'âge il aurait été content.
Je tourne vers un virage, je fais un signe de doigt à Val et Luis de prendre de l'avance, j'essaye de percevoir le bruit des pas de l'inconnu mais on les entend presque plus, je souffle lentement pour reprendre mon esprit dès que j'entends des pas se rapprocher je frappe avec la barre en métal, sauf qu'il esquive, il passe son bras par mon cou en le serrant:
« - Je dois pas te tuer. »
Je lui crache sur la main, mon cou serré donc mon haut de corps est bloqué, grâce à mes deux pieds je les placent contre le mur, je marche un peu dessus, je me retrouve entraîné vers ses épaules, je lui met un coup de main sur son cou, il me lâche directement à cause du choc et de la violence de mon geste.
Je tombe sur le sol de la rue puis je me met à courir pour m'éloigner de lui, dans ma course j'arrive à arriver à côté de Val et Luis.On se cache derrière une benne à ordure, je regarde la tête un peu enlevé de la cachette pour je vérifier si l'homme est présent, je le vois au loin qui court en tenant son cou avec un flingue dans sa main.
Je pose ma main contre la bouche de Luis et l'autre sur la bouche de Val pour qu'ils ne fassent aucun bruit, l'inconnu court et par chance il nous voit pas, je me lève suivit de Val qui porte son fils, nous courrons dans la rue, sauf que j'entends des bruits de balles qui arrivent vers nous, je tourne la tête et je vois l'homme aux chemises égocentriques nous tirer dessus, je prend le poignet de Val pour qu'elle court plus vite, nous passons par un virage pour le semer au plus vite, j'ouvre une porte en fer, nous rentrons à l'intérieur et on se trouve dans une boucherie, des porcs sont accrochés par le plafond, un homme avec un tablier blanc avec du sang dessus, il a un couteau dans la main et une charlotte qui recouvre son crâne dégarni.
La porte en fer s'ouvre et donne sur l'homme qui nous suit, il tire sur un cochon qui tombe contre le sol, on se remet à courir pour lui échapper, je passe au dessus d'une tape remplis d'instruments de cuisine, je remarque une nouvelle porte que Val ouvre en vitesse, je ferme la porte que je tiens pour laisser Val et son fils courir vers la voiture qui est proche:
« - Va démarrer la voiture j'arrive! »
Je lui jette la clé de la voiture qu'elle réussi à attraper, elle part en courant vers la voiture pendant que l'homme essaye d'ouvrir la porte que j'essaye de bloquer le plus longtemps possible, il donne des énormes coups dans la porte, alors, j'essaye de tenir le plus possible, je grimace à cause de la force de ses gestes, quand il met beaucoup de force, je lâche et je me met à courir.
Je vois en tournant la tête qu'il tombe au sol, Val arrive avec la voiture pendant que l'homme me tire dessus avec son flingue, je lui fais un doigt avec d'entrer dans la voiture qui roule, j'entre à l'intérieur et je ferme la portière en vitesse, je salue l'homme en souriant pendant que Val conduit la voiture.
Nous sommes encore dans des rues, les personnes marchant sur cette dernière, se décalent en jurant et nous insultants, je regarde derrière nous au cas où il nous suive encore, par chance aucune trace de lui, Luis pleure, je lui caresse les cheveux pour le calmer le plus possible, Val tape contre une pile de cartons s'il s'envolent contre des personnes:
« - Hijos de puta! »
[Fils de pute!]Je rigole en gardant quand même une petite nervosité, nous rentrons enfin dans une véritable route, je souffle de soulagement et Luis s'est enfin endormi, Val hurle en rigolant pendant que je la fixe du regard avec un petit sourire en coin.
Cette fille est pas croyable.
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IN YOUR EYES
عاطفيةLors d'une balade dans une forêt, sous le soleil chaud d'un après-midi, elle trouve un camion remplis d'armes et de drogues, voulant être une bonne citoyenne, elle appelle la police. Sauf que ce mouvement, cet appel, elle va être mêlée à des affair...