Chapitre 47 : Remise à niveaux

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Saluttt !

Vraiment contente de vous retrouver pour ce chapitre 47, 🌺
je pense avoir moins de temps pour écrire à cause de la rentrée mais je vais quand même essayer de publier le maximum possible ;)

Bon du coup je vous laisse lire ce tout nouveau chapitre.

<3

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Coleso

Je passe plus de temps à la regarder manger et me parler plutôt qu'à manger.
Et honnêtement je n'écoute rien de ce qu'elle me raconte je me contente juste de regarder son beau visage rougis par le froid et ses longs cheveux ondulés.

Parfois elle s'arrête dans son histoire pour me sourire sauf que mon putain de téléphone viens gâcher ce moment, je vais finir par péter ce putain de téléphone.

- Coleso arrête de laisser sonner et répond.

- Nan, continue à me parler de vernis machin chose.

- Alors déjà ce n'est pas du vernis machin chose mais du vernis semi permanent, répond c'est peut-être important.

- Putain.

Je réponds à Joshua, pendant qu'elle se lève pour débarrasser nos déchets, je ne me gêne pas pour la mater pendant qu'elle va à la poubelle. Quand elle me voit faire, je la vois devenir rouge de là où je suis, elle rigole timidement.

* Donc du coup il faudrait que tu viennes pour rencontrer ce putain de fournisseur.

* Il est où là ?
* Il est dans la salle de réunion, fouillé et seule.
* Seule ?
* Ouais, il est pas du tout accompagné.
* Attend deux secondes, j'ai un double appelle.

***

* Ligote le tout de suite, y'a du mouvement autour de la patinoire.
* Une diversion ?
* Ouais ce putain de fournisseur c'est une diversion, les gars que j'ai placés autour de la patinoire compte au moins 20 gars.
* On t'envoie du monde ou tu t'en occupe ?
* C'est bon ça va le faire toi fait sortir des infos de ese jodido gilipollas ! (De ce putain de connard !)
* Sì

Putain, Asmé !

- Asmé mi hermosa viens ici.

Elle s'approche en attrapant la main que je lui tends, son visage innocent qui cache tellement d'horreur se tord d'incompréhension. Je n'aime pas te faire endurer ça et te plonger jour après jour de plus en plus profondément dans mon monde mais mon égoïsme fait que tu es là.

Je sors mon arme de ma ceinture et je te la tends et si tu savais à quel point je déteste te tendre une arme et je déteste encore plus ton visage quand tu comprends.

Doble FiloOù les histoires vivent. Découvrez maintenant