Chapitre 50 : Kashir.

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Bon bah ont se retrouve déjà pour le chapitre 50.....

Je vous laisse lire ce chapitre que j'ai écrit pendant mon cour 😖
On se retrouve à la fin de ce chapitre.
<3

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Coleso

Les filles montent à l'étage et même pas dix secondes plus tard, j'entends les pleurs de Paola.

- Coleso qu'est-ce que tu fous ?!

- DEMANDE ÇA AU FILS DE PUTE QUI TE SERT DE LÈCHE COUILLES !

- Non, toi tu joues à quoi ? T'a que ça à foutre de faire pleurer ma fille !

- Non, mais crois moi que c'est mieux qu'elle soit partie par ce que ton pote je vais lui faire péter SON PUTAIN DE CRÂNE !

- Kashir ? Qu'est-ce que ta foutue !

- RIEN, tu hermano a peut-être mangé un truc pas frais.

- Ok toi fils de p-, je ne suis pas un Calvèz si tu repars d'ici vivant !

- Hermano calme toi, KASHIR putain qu'est-ce que ta foutu, si mi hermano est dans cette état c'est que ta merdé !

- Non je t'assure qu-

Je n'attends pas qu'il finisse sa putain de phrase, je lui mets un crochet et une putain de balayette. Je peux enfin lui rentrer dedans, son dos claque sur le sol.
Mon frère me laisse faire même s'il est réticent. J'attrape ce gros chien par le col, je le traîne dehors suivie par mon frère et Carle qui a entendue du bruit.

Suivie par mes gars qui arrive de plus en plus nombreux autour de nous.

- Hermano je te fais confiance mais explique-moi au moins.

- Ton fils de pute de pote c'est un putain de PROXÉNÈTE !

- De quoi tu parles ?!

- Ton putain de Kashir là c'est un proxénète de mes couilles et de putain DE MINEURS !

- Kashir t'a deux putains de secondes pour démentir par ce que je te jure que je te laisse à mon frère et ses hommes.

- PUTAIN MAIS IL TE MENT TU ME CONNAIS RAPH !

- Mon frère n'a pas de raison de me mentir...

Je sens que je reprends mon putain de contrôle, la mort s'invite au-dessus de ma maison par ce que ce soir je le plombe, vouloir faire de hermosa ton jouet sous mes yeux étais la pire de t'es erreurs et elle te coûtera un contrat avec la mort.

- Hermano je te le laisse mais je veux connaître son putain de club pour sauver ces filles et je veux la planque de leurs putains de papiers.

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