XLVIII - QUINZE.

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TW: agressions sexuelles.
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PS : belle maman lisez pas ce chapitre 👉👈

Point de vue de Kléon:

Après une longue série de coups de reins, je finis par m'effondrer sur le lit après avoir atteint la jouissance, tandis que la belle blonde que j'ai fourré toute la nuit s'habille afin de s'en aller.

Je ne tarde pas non plus à aller sous la douche de l'hôtel afin de me nettoyer.

Pour accompagner mon petit déjeuné, je me crame une cigarette, puis une deuxième, finissant par une troisième.

En me dirigeant vers la réception pour rendre les clés, je vois l'hôtesse adopter une attitude aguicheuse.

Sans réfléchir plus que nécessaire, je passe derrière le comptoir et l'attrape par le bras afin de l'emmener dans la réserve.

Je la penche contre une étagère et remonte sa jupe tailleur jusqu'à ses hanches, met une capote et la pénètre d'un coup sec.

Ses gémissements emplissent la pièce exiguë.

Elle finit par changer de position, se retournant et s'essayant sur le bureau.

Je l'attrape et reprends mes coups de reins.

Elle passe ses mains derrière ma nuque afin de m'attirer contre elle et me voler un baisé, mais je stoppe tout mouvements dans la seconde, me retirant d'elle, puis retire la capote que je balance au sol, me rhabillant et m'en allant, déposant la clé de ma chambre en évidence sur le comptoir.

Il est hors de question que mes lèvres touchent quelque chose depuis qu'elles ont goûté à mon trésor.

Personne ne peut remplacer son goût.

...

Je viens de ressortir du restaurant italien où je viens de prendre deux plats de pâtes bolognaises à emporter, après m'être vidé dans l'une des serveuses dans les toilettes.

J'ai une préférence pour les prostitués, mais quand je décide de me soulager à l'improviste, pas d'autre choix que prendre ce qu'il y a.

...

Arrivé à la villa, j'ignore tout le monde, sûrement entrain de me dévisager et monte à l'étage.

Je glisse la clé dans la serrure et pénètre la chambre.

Je pose les deux plats sur la table et me dirige vers le lit où elle dort encore.

Depuis ce jour là, elle s'est isolée dans sa chambre, me donnant le double des clés pour que je puisse lui rendre visite.

-Réveille toi demie neurone, c'est l'heure de manger.

Voyant qu'elle ne se réveille pas, je retire la couette, la voyant là, assoupie, les yeux bouffis et la lettre de Lys dans ses bras.

Je déglutis avant de la secouer.

Immédiatement, elle fronce les sourcils, grognant pleins de choses pas très belles.

-Laisse moi dormir connard.

Je lève les yeux au ciel avant de me saisir d'un des plats que je place sous son nez.

Immédiatement, elle se relève, révélant ses yeux rougis, avant d'attraper le plat que je lui tends.

Je ne peux m'empêcher de sourire tout en me saisissant de mon plat à mon tour, avant de m'installer à ses côtés.

COMBINAISONOù les histoires vivent. Découvrez maintenant