J'expire mes pensées pesantes au creux de ton corps chaud.
J'aime quand tes mains pianotent, puis se glissent dans mon dos.
Sais-tu, comme je clignote quand tu couvres de tes notes, des gestes précis, des bras si grands qu'ils menottent tous mes maux.
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Jaune Pissenlit
Poetry"Voici le temps des Assassins" Des mets gigantesques assiègent ma maison de liège. Ce sont des axiomes de lanternes qui luisent et hantent les axes de mes tendres, mais ternes sentiments jaunies par quelques pissenlits. À vous je vous avoue ces quel...
