"Voici le temps des Assassins"
Des mets gigantesques assiègent ma maison de liège.
Ce sont des axiomes de lanternes qui luisent et hantent les axes de mes tendres, mais ternes sentiments jaunies par quelques pissenlits.
À vous je vous avoue ces quel...
Le vent hurle comme un gémissement plaintif qui te couvre de frissons. La nature éclot à tes oreilles. Le frémissement soudain des feuilles sombres mortes en hiver s'éveille en automne ici-bas. La terre, boue informe recouvre son corps et ses haillons poussiéreux. Elle est ce que le vent est aux cieux, mon ouragan à moi. Un souffle de vie. De sa langue, elle picore mon dos blessé, elle trace des cercles infinis. Elle guérit mes maux. Elle fabrique des sourires au milieu des hurlements.
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