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Le vent hurle comme un gémissement plaintif qui te couvre de frissons. La nature éclot à tes oreilles. Le frémissement soudain des feuilles sombres mortes en hiver s'éveille en automne ici-bas.
La terre, boue informe recouvre son corps et ses haillons poussiéreux. Elle est ce que le vent est aux cieux, mon ouragan à moi. Un souffle de vie.
De sa langue, elle picore mon dos blessé, elle trace des cercles infinis. Elle guérit mes maux. Elle fabrique des sourires au milieu des hurlements.

 Elle fabrique des sourires au milieu des hurlements

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Jaune PissenlitOù les histoires vivent. Découvrez maintenant