Accroché à mes orteils, j'ai la jambe lourde quand le sommeil
entre à présent sous mes genoux.
Il y a leur miel,
il y a l'heure molle.
Nous enjambons les carillons,
jouons à tordre nos pieds trop long,
assiégeons les sources chaudes.
J'aimerai t'attendre quand reviens l'aube, à l'imaginaire sans brasier.
L'eau s'écoule sur nos pas liés,
l'amitié tend ses tresses,
on lance les feuilles en liesse.
Billet doux quand on s'effrite,
il y a l'odeur de la terre cuite.
M'as-tu avoué les sons qui brûlent ?
Laissons-les ceux qui hululent.
Laissons-les.
Moi, je t'adule.
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Jaune Pissenlit
Poetry"Voici le temps des Assassins" Des mets gigantesques assiègent ma maison de liège. Ce sont des axiomes de lanternes qui luisent et hantent les axes de mes tendres, mais ternes sentiments jaunies par quelques pissenlits. À vous je vous avoue ces quel...