Même dans l'incompréhension des langues qui se croisent;
les regards racontent la douceur, le soir.
Et même, lorsque le Soleil s'éternise sur ma peau.
En bas du dos, brûlure teintée me pique l'œil.
Les chapeaux travaillent, le dos courbé. Sans bruit. À tendre l'oreille j'entends ;
Les raisins qui tombent sous mes doigts écorchés. Les murmures des basanés qui chantent.
Quand la peine des heures longues ruissellent sur les secondes. Quand le liquide chaud coule le long de la cavité.
Quand la souffrance d'être née me monte aux nez, agrément mentholé lévite.
Je repense, aux travailleurs aguerris qui chantaient dans les vignes, plus vivant que les vivants.
Ils semblent si digne.
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Jaune Pissenlit
Poésie"Voici le temps des Assassins" Des mets gigantesques assiègent ma maison de liège. Ce sont des axiomes de lanternes qui luisent et hantent les axes de mes tendres, mais ternes sentiments jaunies par quelques pissenlits. À vous je vous avoue ces quel...
