Pour habiter un grand corps de chagrin il faut une dose de sel, de violence et de courage.
Car sous les nausées stressantes d'un monde qui tambourine son bruit, tout se dresse comme un chapiteau de cirque.Des têtes dépareillées s'exaspèrent au bord de l'incertitude.
Des colères alignées se serrent et se repoussent, cherchant des bras pour retenir le coeur qui s'échappe.C'est un coeur volage qui ne s'enferme pas dans un chagrin.

VOUS LISEZ
Jaune Pissenlit
Poesía"Voici le temps des Assassins" Des mets gigantesques assiègent ma maison de liège. Ce sont des axiomes de lanternes qui luisent et hantent les axes de mes tendres, mais ternes sentiments jaunies par quelques pissenlits. À vous je vous avoue ces quel...