Hier, entre ton cœur et tes poumons, il faisait clair
clairière abritait la lumière
sous l'arbre, je vais marauder le fruit
le pommier porte mes saccages sur ces tiges
sur mon corps des vestiges
sur mes paupières des vertiges
vais-je vernir ces maux qui sentent l'orage ?
j'ai pris les anges en otage
caressant leurs ailes dorées sous la cage
prisant la discrétion de leurs sanglots
leur tendre rire prend écho
tandis que mon regard amorphe
éloquent comme Orphée
suggère : apprenez-moi à voler.

VOUS LISEZ
Jaune Pissenlit
Poesia"Voici le temps des Assassins" Des mets gigantesques assiègent ma maison de liège. Ce sont des axiomes de lanternes qui luisent et hantent les axes de mes tendres, mais ternes sentiments jaunies par quelques pissenlits. À vous je vous avoue ces quel...