Un peu perdu à travers les brouillards de l'imagination, conditionné entre les briques de lait et la viande, la viande coupée en lamelles pour asseoir notre famine à sa chaire.
La grenouille qui sautait au-dessus de ma tête à fini dans la poêle les cuisses ouvertes.
Pourquoi manger ces p'tites bêtes ?
Les chauves-souris auraient dû voler plus haut elles aussi...
Je n'ai plus faim d'impostures.
Je commence à sortir de l'oppression, je veux écrire sous les pulsions.
Comme j'entends cette voix douce dans ma tête.
Elle me dit sans cesse, contre ma poitrine tu peux l'entendre toi aussi, si tu te mets à danser de façon étrange à mes côtés, assez près, tous contre moi tu peux l'entendre :
"Monsieur mesdames, avancez dans la queue d'la folie, prenez un trou et faites y votre nids.
Dormez dans la paille, les paillassons de l'insensé ne sont pas des drames, couchez-vous sous l'inconvenance.
Soyez femmes de l'indécence."
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Jaune Pissenlit
Poetry"Voici le temps des Assassins" Des mets gigantesques assiègent ma maison de liège. Ce sont des axiomes de lanternes qui luisent et hantent les axes de mes tendres, mais ternes sentiments jaunies par quelques pissenlits. À vous je vous avoue ces quel...
